Placée sous l’égide de l’AFNIC, la procédure Syreli permet de sanctionner des atteintes manifestes et incontestables à un droit de marques résultant de la réservation par des tiers de noms de domaine identiques ou similaires.
Retrouvez dans cette fiche « 5 minutes pour comprendre », disponible en téléchargement sur le site de Nameshield,dans quels cas s’applique la procédure SYRELI et quelles sont les règles et les conditions à respecter.
Établie sur proposition de l’ICANN, la procédure extrajudiciaire UDRP permet de sanctionner des atteintes manifestes et incontestables à un droit de marques résultant de la réservation par des tiers de noms de domaine identiques ou similaires, pratique communément désignée sous le terme de « cybersquatting ».
L’UDRP s’applique non seulement aux extensions génériques (gTLDs) en .aero, .biz, .com, .coop, .info, .jobs, .mobi, .museum, .name, .net, .org, .pro, .travel et nouvelles extensions (new gTLDs), mais aussi aux extensions géographiques (ccTLDs) dont l’organe d’enregistrement (le registre) a accepté les principes UDRP.
Ma grande passion, c’est l’aéronautique. Petit, je me voyais déjà pilote de ligne lorsque je lançais ces petites feuilles A4, pliées dans la meilleure configuration qu’il soit[1] pour voler en travers de la classe d’école. Malheureusement, une vue défaillante aura raison de mon ambition et je dus ainsi abandonner tout espoir de me présenter un jour comme pilote.
Plus tard, le visionnage d’Attrape-moi si tu peux, montrant[2] Léonardo DiCaprio interpréter un fraudeur se prenant pour un pilote de la Panam me rappellera mes souvenirs d’enfant.
Aujourd’hui, travaillant dans les noms de domaine, je ne peux bénéficier d’un GENTY.AERO, qui m’aurait permis d’afficher un statut de pilote aux grands de ce monde. Cependant, la DGAC vint à mon secours rapidement.
C’est en effet en lisant un article du Monde[3] présentant la nouvelle formation des pilotes de drone que l’espoir qui m’avait tant habité revint.
La Direction Générale de l’Aviation Civile a récemment mis en place une plateforme permettant de passer la formation pour devenir télépilote d’aéronef civil circulant sans personne à bord utilisés à des fins de loisir et je me ruais ainsi sur le site de cette dernière[4].
Quinze minutes de visionnage de vidéo sans l’obligation d’être derrière l’écran, un test de 20 questions avec ces dernières toujours dans le même ordre : il ne m’en fallait pas plus pour devenir pilote de drone d’une masse inférieure à 2 kilogrammes.
Le test obtenu, Ô surprise, je pus nonchalamment présenter de manière ostentatoire mon nouveau diplôme dans un écrin de toute beauté.
Une fois ma vocation de pilote assouvie, il ne me restait plus qu’à obtenir mon nom de domaine en .AERO
L’entreprise gérant le .AERO[5], à savoir la SITA, Société internationale de télécommunication aéronautique, demande une preuve de formation de pilote. Gardons à l’esprit qu’il s’agit d’une extension fermée et donc réservée au secteur aéronautique.
Je pus joindre le PDF de mon diplôme et une journée plus tard, l’heureuse réponse vint : je peux désormais bénéficier de mon nom de domaine en .AERO
Voilà, en quinze minutes de formation/test, je pus obtenir un .AERO et être considéré comme n’importe quel acteur du secteur aéronautique. Si l’anecdote fait sourire sur les conditions du test, il n’en reste pas moins qu’il s’agit ici d’un exemple d’une extension dite fermée mais qui s’avère s’ouvrir rapidement.
Et oui, n’oublions pas que le registre vit des enregistrements de noms de domaine, et non d’une hypothétique confiance sur Internet.
La société CHANTELLE S.A. a obtenu du centre d’arbitrage et de médiation de l’OMPI une décision favorable ordonnant le transfert à son profit du nom de domaine « groupe-chantelle.com », dans le cadre d’une procédure UDRP, au cours de laquelle le registrar NAMESHIELD la représentait.
Le nom de domaine objet du litige est une forme de « typosquatting » où seul un tiret différencie le nom de domaine litigieux du nom de domaine officiel. En effet, le nom de domaine utilisé par la société Chantelle à titre institutionnel, pour son site officiel et pour le service de courriel des collaborateurs du groupe, est « groupechantelle.com », et ne dispose donc pas de tiret entre les mots « groupe » et « Chantelle ».
Le nom de domaine litigieux a été utilisé pour l’envoi de courriels à des partenaires de la société Chantelle. La réactivité et la vigilance des équipes de CHANTELLE a permis de déjouer ces manœuvres frauduleuses en lançant une procédure.
Comme le remarquent les experts NAMESHIELD, il s’agit d’un cas de « phishing » fréquent lors des périodes estivales, notamment lorsque de nombreux collaborateurs sont en congés, causant beaucoup de torts aux entreprises. L’objet de l’attaque est d’usurper l’identité du service comptable, ou d’un directeur, afin de demander urgemment un virement, ou demander de prendre en compte de prétendues nouvelles coordonnées bancaires pour le paiement des prochaines factures.
Au cours de cette dernière, après avoir reconnu la similarité du nom de domaine litigieux par rapport aux marques CHANTELLE et noms de domaine associés, et établi que le titulaire n’avait aucun droit ni intérêt légitime, l’expert a étudié la question de l’enregistrement et usage de bonne ou mauvaise foi.
L’expert a constaté que le nom de domaine faisait l’objet d’une détention passive, c’est-à-dire qu’aucun site internet n’était exploité, et qu’ainsi, la mauvaise foi pouvait être retenue si d’autres circonstances venaient s’ajouter à l’encontre du titulaire.
Reprenant les faits, l’expert énonce que les attaques de « phishing » exercées par le titulaire sont incontestablement des « actes d’usurpation d’identité […] constitutifs de mauvaise foi ». L’enregistrement du nom de domaine n’a ainsi eu pour seul objectif de se faire passer pour la société Chantelle, et a été utilisé pour tromper les partenaires.
En conclusion, il semble important que les titulaires de marques qui subissent des attaques de « phishing » et d’usurpation d’identité conservent les preuves, et prennent en considération la procédure amiable UDRP, plus rapide qu’une procédure judiciaire, et aussi efficace puisque le transfert du nom de domaine est ordonné par la commission administrative.
L’Adwords est défini comme étant « un service de référencement payant [qui] permet à tout opérateur économique, moyennant la sélection d’un ou de plusieurs mots clés, de faire apparaître, en cas de concordance entre ce ou ces mots et celui ou ceux contenus dans la requête adressée par un internaute au moteur de recherche, un lien promotionnel vers son site ».
Concrètement qu’est ce qui apparait lors d’une recherche ?
Les résultats retournés par exemple avec une recherche Google sont de 2 natures :
– Les liens sponsorisés (Adwords) : le client achète des mots clés et son annonce (lien vers son site) est affichée en priorité si les mots clés recherchés correspondent à ceux qu’il a achetés.
– Le référencement naturel : ce référencement se fait en fonction du contenu des sites référencés (les critères sont définis par Google)
Dans la page de résultat Google, les 2 types de résultats sont affichés différemment :
Les liens sponsorisés (Adwords) sont affichés en début de liste avec le flag « Annonce ».
Les résultats naturels sont ensuite affichés en fonction de leur référencement par rapport aux mots clés saisis.
Les critères pris en compte par Google pour afficher les résultats naturels sont les suivants :
Termes recherchés
Pays du moteur intérrogé (Google.fr / Google.jp, …)
Langue de l’internaute
Type de terminal (pc, mobile)
Les critères pris en compte par Google pour afficher les résultats sponsorisés sont les même que ci dessus avec en plus la prise compte du lieu d’origine de la recherche.
Les Adwords peuvent être achetés sur une zone géographique déterminée (un pays, une région, une ville, …). Google utilise donc l’adresse ip du terminal qui effectue la requête pour déterminer quels résultats retourner.
Le service Adwords de Google
Le moteur de recherche le plus visé par des pratiques déviantes est Google qui a fait de cette pratique un service payant et automatisé, et qui permet ainsi la sélection de mots clés et la création d’annonces. Le chiffre d’affaires de Google Adwords est estime au dernier trimestre de l’année 2014, à 10.50 Mds$ pour un chiffre d’affaire totale de 16,96 Mds$. On comprend mieux l’importance de ce service …
Afin d’éviter a minima les abus, il est essentiel que l’annonce qui apparait après avoir tapé le mot clé permette à l’internaute normalement informé et raisonnablement attentif de savoir si les produits ou services visés par l’annonce proviennent du titulaire de la marque, d’une entreprise économiquement liée à celui ci, ou alors d’un tiers.
Car bien à l’annonceur de choisir un ou plusieurs mots clés qui lui permettront d’afficher son annonce. Là réside toute la subtilité de la définition des Adwords.
En l’espèce, Google bénéficie du statut d’hébergeur et donc d’une responsabilité limitée !
En effet, afin de déterminer la responsabilité du moteur de recherche, le juge doit porter son attention sur l’automatisation. Le juge doit déterminer si le rôle de l’opérateur est neutre ou non. S’il n’y a pas de contrôle des données stockées, la responsabilité du moteur de recherche ne peut être retenue.
Il a été jugé que Google n’était pas un contrefacteur en mettant à disposition des mots clés reproduisant des signes distinctifs (marque enregistrée notamment), en les stockant et en affichant les annonces en fonction des mots clés. Selon la Cour, Google ne fait pas l’usage de ces mots clés « dans le cadre de sa propre communication commerciale ».
C’est à dire que Google met à disposition ces mots clés mais ne les utilisent pas pour sa propre publicité.
Des affaires en justice liées aux Adwords
Avec les programmes de liens sponsorisés sur les moteurs de recherche, il est très facile d’acheter les noms de marque de ses concurrents en tant que mot-clé. Pour des raisons éthiques, ce n’est pas conseillé, mais certaines sociétés, ne s’en privent pas.
Les abus comme le détournement de trafic, de domaine, la duplication de contenu, les contrefaçons de produits ou de service sont nombreux sur le net mais la plus grande pratique concernant les Adwords reste le détournement de marque.
Le détournement peut prendre deux formes : un annonceur achète le nom d’une marque en tant que mot-clé dans le but d’afficher son annonce lorsque les internautes font des recherches sur cette marque et/ou un annonceur place le nom de la marque dans le texte de son annonce qui apparaît dans la page de résultats.
Ces détournements ont entrainé de nombreuses affaires célèbres ou la définition d’un Adwords a été rappelée comme :
Ces affaires révèlent toute l’importance de la présentation de l’annonce afin que cette dernière ne reproduise en aucun cas la marque enregistrée par un tiers dans l’annonce et ne trompe le consommateur moyen sur les fonctions essentielles de la marque (fonction d’origine, fonction de publicité, fonction d’investissement, et renommée de la marque).
Face à ces menaces quelles précautions doivent être prises ?
Il est essentiel que votre marque soit déposée, avec une preuve de l’enregistrement, pour pouvoir adresser une plainte aux moteurs de recherche ou mettre en place une procédure juridique.
Tout est affaire de réactivité aussi bien dans la détection des menaces ou des pratiques frauduleuses comme dans les décisions à prendre.
Aussi est-il primordial de choisir et mettre en place des surveillances adaptés (surveillance de dépôts de marques et noms de domaine, surveillance des résultats naturels et sponsorisés, surveillance de contenu (sites, réseaux sociaux, programme d’affiliation.) .
Ces surveillances vous permettront d’identifier rapidement les menaces à l’encontre de votre marque et de réagir avec des procédures proportionnées
Enfin, concernant les actions immédiates possibles, sachez que vous pouvez demander la suppression d’Adwords reprenant à l’identique ou à l’approchant une marque enregistrée.
Bernard Mauriange, Chef de Produit, Nameshield Group
J’abordais dans un précédent sujet l’importance de maîtriser son propre nom de domaine. L’accès à Internet pour tous est un droit et les enjeux liés à la gouvernance sont primordiaux.
Les Etats-Unis vivent aujourd’hui des élections présidentielles palpitantes, tant les sujets et candidats sont différents. Face à cette situation, de nombreuses entreprises de la Silicon Valley se posent la question de soutenir l’un ou l’autre aspirant à la Maison Blanche. Si ce choix n’est que lié au marketing et à ces considérations purement mercantiles, il paraît important de citer les tiers de confiance, ces entreprises qui proposent des prestations mettant en relation internaute et contenu web.
Vous l’aurez compris, moteurs de recherche et médias sociaux sont les principaux exemples que je souhaite aborder. Accédez à un site Internet via son nom de domaine et vous aurez accès à ce site. La raison en est simple, il n’y a pas de filtrage de la part des infrastructures gérant les DNS. Hormis différents sites bloqués par décision gouvernementale, tout le monde peut accéder à n’importe quel contenu. Le moteur de recherche ou le réseau social, affichent eux, différents liens permettant d’accéder à des contenus. On le sait, l’affichage de ces liens est conditionné selon des algorithmes jalousement gardés. Des experts en référencement se sont ainsi lancés sur ce secteur en tentant d’optimiser contenus et contenants afin de remonter dans les premières pages, et donc les premiers résultats. Cette étape réalisée via du reverse engineering analyse les résultats et tente de remonter la source pour comprendre le fonctionnement. L’empirisme et l’essai pratique en sont les essences.
Oui mais voilà, ces méthodes peuvent s’exercer seulement si les algorithmes sont fixes et n’évoluent pas aléatoirement. Ce qui est le cas. Ces experts, du SEO, Search Engine Optimization, doivent constamment s’adapter pour appréhender l’algorithme et donc faire évoluer les contenus et liens de leurs clients.
Sauf que, si les algorithmes d’affichage des contenus et des liens étaient uniquement basés sur une programmation machine, le jeu entre moteur de recherche et expert SEO se résumerait à celui du chat et de la souris.
Parce que ces architectures sont protégées, leurs propriétaires peuvent faire ce qu’ils veulent, voire, pourquoi pas modifier manuellement les contenus affichés. Et c’est justement ce qui se passe actuellement. Un article écrit ce lundi par Michael Nunez et publié par Gizmondo12 aux USA, repris par la presse généraliste34, l’AFP et repris dans la PQR5 fait état de suppressions d’articles dits ‘conservateurs’ par Facebook. Des anciens employés du réseau social états-uniens témoignent de cette brigade de journalistes embauchés spécifiquement pour cette tache et majoritairement diplômés d’écoles de l’Ivy League ou de la côte Est.
Cette nouvelle n’est pas sans rappeler le livre6 de Dan Lyons, journaliste ayant été employé par Hubspot où la collusion écriture d’informations ancienne et nouvelle génération avait été remarquée. Mais l’embauche de journalistes dans le but de transformer l’affichage des news théoriquement aléatoires est un évènement nouveau.
D’après l’article de Nunez, les articles dits ‘conservateurs’ étaient systématiquement supprimés des trending topics. Cette manipulation de l’accès à l’information, si elle est avérée, Facebook niant les faits, est bien évidemment grave. Un précédent article78, daté du mois d’avril dernier faisait ainsi état d’un sondage interne à Facebook où les employés se demandaient s’ils devaient agir pour éviter une présence sous Trump. Preuve qu’il en est que cette volonté ne date pas d’hier.
Soyons clair, dès qu’une information peut transiter via une chaîne humaine, des biais peuvent exister. Wikileaks, Prism et maintenant ce Zuckergate en sont la preuve.
21ème Forum Européen de la Propriété Intellectuelle
11 et 12 février 2016 à Paris
« La face obscure des atteintes à la propriété intellectuelle »
Le 11 et 12 février 2016 s’est tenu à Paris le 21ème Forum Européen de la Propriété Intellectuelle avec pour thématique principale « La face obscure des atteintes à la propriété intellectuelle ». Le groupe Nameshield, en tant qu’acteur reconnu du web et précurseur dans l’appréhension de la lutte contre la contrefaçon sur Internet, participait naturellement à ce rendez-vous.
Cet évènement incontournable pour tous ceux qui souhaitent d’une manière ou d’une autre lutter contre la contrefaçon sur le web a été l’occasion de présenter la spin-off issue du groupe Nameshield à la communauté : Brandsays. En effet, le groupe Nameshield a toujours eu à cœur de répondre efficacement et en toute transparence aux besoins des marques et des internautes. La protection des marques a toujours été son objectif premier et pour lequel l’entreprise a développé une réelle expertise au fur et à mesure des années.
Dans le cadre de la protection des marques et à la recherche de solutions autant innovantes que fiables, et dans un contexte où la contrefaçon sur le web ne cesse de croître, le groupe Nameshield se devait de soutenir un projet allant dans ce sens.
Après de longues réflexions et recherches, un concept a vu le jour. Aujourd’hui, le constat est que les marques enregistrent des pertes considérables dues à la contrefaçon sur Internet. Mais les marques ne sont pas les seules victimes de cette contrefaçon. Les internautes eux aussi sont les victimes de cette contrefaçon, et parfois, les conséquences sont graves, voir mortelles !
Il fallait donc pour satisfaire Nameshield, une solution tenant compte des marques mais aussi des internautes. Et c’est ainsi, après des mois, voire des années (et oui, le temps nécessaire afin de proposer des produits et services d’une qualité optimale d’un point de vue technique) qu’est né LA solution de demain pour lutter contre la contrefaçon sur Internet : BRANDSAYS.
Qu’est-ce que Brandsays ?
Brandsays est aujourd’hui l’unique société proposant une solution à la fois aux marques et aux internautes pour lutter ensemble contre la contrefaçon sur le web. A défaut d’éradiquer totalement la contrefaçon, ce qui aujourd’hui semble impossible, Brandsays propose une alternative, l’information. En effet, une majeure partie des internautes étant victimes de sites frauduleux en sont totalement inconscients. Cette solution propose donc d’informer les internautes et que chacun soit acteur d’un internet plus sûr : en répertoriant les sites officiels du côté des marques, et en notifiant les sites frauduleux du côté des internautes. Ainsi, grâce à cette communauté et au véritable référentiel confirmant ou non la légitimité du site, les internautes pourront naviguer sans craintes.
C’est donc fier que Jean-Paul BECHU, fondateur et dirigeant du groupe Nameshield, présentait Brandsays, société à la fois humaine et innovante, lors du salon organisé par l’UNIFAB. C’était l’occasion également de confronter les avis et idées avec d’autres acteurs majeurs de la lutte contre la contrefaçon et d’échanger avec des organismes référents dans le domaine. Par exemple avec le président de l’IACC (International AntiCounterfeiting Coalition) qui s’est montré intéressé par Brandsays.
Pour en savoir plus sur Brandsays contacter : caroline@brandsays.com
Nameshield utilise des cookies
Nameshield souhaite utiliser des cookies permettant d’assurer le bon fonctionnement du site et, avec nos partenaires, d’en mesurer son audience🍪.
Nameshield souhaite utiliser des cookies permettant d’assurer le bon fonctionnement du site et, avec nos partenaires, d’en mesurer son audience. Plus d'informations dans notre politique de cookies 🍪.
Ces cookies sont essentiels au bon fonctionnement du site web. Ils assurent les fonctionnalités de base et les fonctions de sécurité du site web, de manière anonyme.
Cookie
Durée
Description
cookielawinfo-checkbox-advertisement
1 year
Set by the GDPR Cookie Consent plugin, this cookie is used to record the user consent for the cookies in the "Advertisement" category .
cookielawinfo-checkbox-analytics
1 year
Set by the GDPR Cookie Consent plugin, this cookie is used to record the user consent for the cookies in the "Analytics" category .
cookielawinfo-checkbox-functional
1 year
The cookie is set by the GDPR Cookie Consent plugin to record the user consent for the cookies in the category "Functional".
cookielawinfo-checkbox-necessary
1 year
Set by the GDPR Cookie Consent plugin, this cookie is used to record the user consent for the cookies in the "Necessary" category .
cookielawinfo-checkbox-others
1 year
Set by the GDPR Cookie Consent plugin, this cookie is used to store the user consent for cookies in the category "Others".
cookielawinfo-checkbox-performance
1 year
Set by the GDPR Cookie Consent plugin, this cookie is used to store the user consent for cookies in the category "Performance".
CookieLawInfoConsent
1 year
Records the default button state of the corresponding category & the status of CCPA. It works only in coordination with the primary cookie.
Ces cookies aident à réaliser certaines fonctionnalités comme le partage du contenu du site web sur les plateformes de médias sociaux, la collecte de commentaires et d’autres fonctionnalités de tiers.
Performance cookies are used to understand and analyze the key performance indexes of the website which helps in delivering a better user experience for the visitors.
Ces cookies sont utilisés pour comprendre comment vous arrivez sur notre Site et pour mesurer le nombre de visiteurs.
Cookie
Durée
Description
_ga
2 years
The _ga cookie, installed by Google Analytics, calculates visitor, session and campaign data and also keeps track of site usage for the site's analytics report. The cookie stores information anonymously and assigns a randomly generated number to recognize unique visitors.
_gat_gtag_UA_25904574_14
1 minute
Set by Google to distinguish users.
_gid
1 day
Installed by Google Analytics, _gid cookie stores information on how visitors use a website, while also creating an analytics report of the website's performance. Some of the data that are collected include the number of visitors, their source, and the pages they visit anonymously.
CONSENT
2 years
YouTube sets this cookie via embedded youtube-videos and registers anonymous statistical data.
Ces cookies sont utilisés pour vous proposer des offres et services personnalisés, plus adaptés à vos centres d’intérêts.
Cookie
Durée
Description
NID
6 months
NID cookie, set by Google, is used for advertising purposes; to limit the number of times the user sees an ad, to mute unwanted ads, and to measure the effectiveness of ads.
VISITOR_INFO1_LIVE
5 months 27 days
A cookie set by YouTube to measure bandwidth that determines whether the user gets the new or old player interface.
YSC
session
YSC cookie is set by Youtube and is used to track the views of embedded videos on Youtube pages.
yt-remote-connected-devices
never
YouTube sets this cookie to store the video preferences of the user using embedded YouTube video.
yt-remote-device-id
never
YouTube sets this cookie to store the video preferences of the user using embedded YouTube video.