Rendez-vous le 16 novembre prochain à 15h pour assister à notre webinar intitulé : Créez votre extension Internet : les clés pour performer votre nouveau gTLD.
Compte tenu de l’importance croissante d’Internet dans le monde économique, social et culturel, l’ICANN a lancé en 2012, un appel à candidatures afin d’introduire de nouveaux gTLDs de premier niveau.
Offrant aux entreprises la possibilité d’utiliser une marque ou une dénomination sociale comme extension (ex : .bnpparibas, .loreal, .alstom, .sncf), l’ouverture aux new gTLDs a également mis sur le marché plus de 1200 nouvelles extensions (ex. : .love, .bank, .xyz, .ski, .africa, .shop, .paris, .alsace, etc.).
Un deuxième appel à candidatures à venir permettra aux entreprises mais aussi aux villes de créer à nouveau de nouvelles extensions.
Connaissez-vous les fonctions essentielles d’un gTLD et les aspects qui sont à prendre en considération pour une extension efficiente ?
Grâce à nos experts, découvrez les informations clés pour performer votre nouveau gTLD, avec notamment un focus sur le rôle méconnu des agents de séquestre des données. Un webinar passionnant à ne pas manquer.
Ce webinar sera animé par :
Arnaud Wittersheim, NgTLD Project manager – Compliance manager de Nameshield group et membre du CA de l’AFNIC.
Lie Sue Chung, Chargée de projet compliance de Nameshield group.
Pour y assister, il faudra au préalable vous inscrire sur la plateformeWebikeo(inscription gratuite) puis réserver votre place pour ce webinar. Vous pourrez ainsi participer en live à cette web-conférence et poser vos questions en direct.
Vous ne serez pas disponible ? Pas d’inquiétude, ce webinar sera également disponible en replay.
Les « Top Level Domains » également appelés TLDou extensions, sont définis par l’IANA (Internet Assigned Numbers Authority) qui dépend de l’ICANN depuis 1998.
L’ICANN et l’IANA sont en charge d’allouer l’espace des adresses de protocole Internet (IP), d’attribuer les identificateurs de protocole et de gérer le système de noms de domaine de premier niveau, c’est-à-dire les « Top Level Domains ».
Découvrez dans cette fiche 5 minutes pour comprendre, disponible en téléchargement sur le site de Nameshield, les différents types de domaines de premier niveau.
Établie sur proposition de l’ICANN, la procédure extrajudiciaire UDRP permet de sanctionner des atteintes manifestes et incontestables à un droit de marques résultant de la réservation par des tiers de noms de domaine identiques ou similaires, pratique communément désignée sous le terme de « cybersquatting ».
L’UDRP s’applique non seulement aux extensions génériques (gTLDs) en .aero, .biz, .com, .coop, .info, .jobs, .mobi, .museum, .name, .net, .org, .pro, .travel et nouvelles extensions (new gTLDs), mais aussi aux extensions géographiques (ccTLDs) dont l’organe d’enregistrement (le registre) a accepté les principes UDRP.
Prévu initialement à Cancun au Mexique comme l’ICANN67, le récent sommet sur la gouvernance de l’Internet a une nouvelle fois été réalisé entièrement en visio-conférences du fait de la situation sanitaire mondiale. Les PDP, les processus de développements de policies ont été le fil conducteur de ce sommet.
Le PDP, Processus de développement de policies, est le mécanisme central communautaire utilisé par le Gnso (Generic Names Supporting Organization), l’organe responsable du développement des politiques concernant les noms de domaine génériques, pour proposer de nouvelles obligations et réviser des règles en vigueur pour les actualiser. Chaque PDP se traduit par une série de rapports qui en fin de parcours sont transmis au Conseil d’administration de l’ICANN, le Board ICANN, qui statue sur le devenir des recommandations qu’ils contiennent.
Le PDP sur les nouvelles extensions génériques
C’est avec ce mécanisme qu’ICANN a lancé un programme de nouvelles extensions génériques qui a conduit à 1930 demandes au printemps 2012 et 1233 extensions déléguées à fin 2020. L’opportunité de considérer un nouveau cycle de candidatures a été matérialisée par un PDP initié par le Gnso fin 2015. Cinq années plus tard, ce processus qui vise à revoir et améliorer les recommandations du Gnso pour le cycle de 2012 est entré dans sa dernière ligne droite. C’est en effet désormais au Conseil d’Administration de l’ICANN de statuer sur les recommandations des groupes de travail qui ont œuvré sur ce PDP. Le Conseil d’Administration devrait lancer une dernière phase de consultations de la communauté avant de se prononcer sur la suite de leurs travaux. La communauté attendait une annonce en ce sens pour ce sommet ou peut-être même un calendrier pour baliser les prochaines étapes jusqu’à un prochain cycle de candidatures mais force est de constater que les espoirs ont été déçus. En effet il n’y a pas eu d’annonces, même si l’on sait que la perspective d’un futur cycle de candidatures se rapproche désormais à grands pas. En ce qui concerne le contenu des recommandations cette fois, les éléments discutés principalement lors de l’ICANN70 ont porté sur une pré-évaluation des futurs registres, l’amélioration de la prédictibilité pour évaluer les futures candidatures et l’amélioration du support des candidats.
Le PDP : Une solution pour sortir de l’impasse sur les usages malveillants du DNS ?
Autre sujet, en lien avec la mise en œuvre du PDP précité, les usages malveillants du DNS, sujet communément désigné par DNS abuse.
La surveillance des pratiques malveillantes opérée par ICANN dans les noms génériques porte sur quelques 205 millions de noms dont à peine 11% sont issus du cycle d’extensions créées à partir de 2012. Le constat réalisé au travers de leurs analyses montre qu’un million de noms concentrent ces atteintes soit 0,5% d’entre eux. Autre fait notable, les nouvelles extensions sont davantage utilisées pour des pratiques malveillantes que les extensions génériques historiques comme les .COM, .NET, .ORG, .BIZ et .INFO. En effet ICANN a indiqué qu’en février 2021, 35% des atteintes à la sécurité venaient de noms créés dans les nouvelles extensions génériques contre 65% dans les extensions historiques, un ratio qui est même monté à 40% en novembre 2020. ICANN a aussi précisé que 90% des pratiques malveillantes dans les nouvelles extensions étaient concentrées sur 23 extensions. En ce qui concerne les types d’atteintes les plus répandues, le spamming intervient à 85%, le phishing (hameçonnage) à 8,4%, les botnets (des programmes malveillants qui opèrent des tâches à distance) à 3,9% puis les logiciels malveillants à 2,7%. Les nouvelles extensions génériques concentrent davantage de pratiques de spamming et de phishing. Si depuis désormais cinq sommets le DNS abuse est devenu un sujet central d’échanges entre instances représentants les parties prenantes de la communauté Internet, les positions divergent toujours sur les mesures à prendre pour juguler ces pratiques préjudiciables. Là encore les attentes de la communauté lors de ce sommet étaient donc importantes.
Le GAC, l’instance qui représente les gouvernements, a déjà supporté l’idée d’un PDP dédié sur ce sujet. Il plaide pour une approche holistique qui concerne toutes les extensions, existantes et futures. Il a beaucoup mis en avant le travail du SSAC, le Comité Consultatif sur la Sécurité et la Stabilité qui conseille la communauté et le conseil d’administration de l’ICANN sur les questions relatives à la sécurité et à l’intégrité des systèmes d’attribution de noms et d’adresses de l’Internet. Il a en effetpublié un avis avant l’ICANN70 incitant le Board avant de lancer la prochaine série de nouveaux gTLDs à commander une étude sur les causes, les réponses et les meilleures pratiques pour l’atténuation des abus de noms de domaine qui prolifèrent dans les nouveaux gTLDs du cycle de 2012. A leur crédit également une série de recommandations transmises au conseil d’administration ICANN allant de la présence systématique d’experts de sécurité dans toutes futures négociations contractuelles à un processus ePDP (un processus de développement de politiques accéléré). Quant au Gnso, il poursuit pour le moment les consultations sans écarter le recours à un PDP.
Et l’ePDP phase 1 et 2 sur l’accès aux données d’enregistrement
Autre sujet, autre processus PDP, l’ePDP en lien avec le RGPD pour l’accès aux données d’enregistrement des noms de domaine. Initié en 2018, il avait pour ambition de remplacer une disposition temporaire qui a consisté à expurger les données personnelles des données d’enregistrement librement accessibles des noms génériques. La phase 1 de l’ePDP, non finalisée à ce jour, doit permettre de remplacer les dispositions temporaires par des dispositions pérennes. La phase 2 vise à créer un système standardisé d’accès aux données pour les demandes légitimes communément appelé SSAD. Celle-ci est aujourd’hui arrivée en fin de parcours puisqu’elle est désormais entre les mains du Conseil d’Administration de l’ICANN après que le Gnso ait approuvé toutes les dispositions formulées par les groupes de travail qui ont travaillé sur ce sujet, même celles qui n’ont pas obtenu de consensus. Le Gnso a assumé cette prise de position sous prétexte qu’il fallait savoir prendre ses responsabilités et que les recommandations constituaient un tout, une entorse au processus de création de nouvelles politiques qui se veut normalement consensuel et qui a conduit l’ALAC (At-Large Advisory Committee) qui représente les utilisateurs finaux à exprimer des préoccupations, l’IPC (Intellectual Property Constituency) qui représente les intérêts de la communauté de la propriété intellectuelle allant même jusqu’à demander à ne pas poursuivre l’examen des recommandations. Du côté du Board ICANN, on a tout juste appris qu’ils lançaient une Phase de Design Opérationnelle pour considérer l’opérabilité du futur système. Il entend se positionner sur les recommandations dans un second temps.
Un nouveau PDP sur les politiques de transferts de noms
Un autre processus PDP a été officiellement mis sur les rails lors de l’ICANN70 pour réviser les règles de transferts de noms de domaine : transferts entre bureaux d’enregistrement et transferts entre deux titulaires. Ce dernier ambitionne de simplifier, sécuriser et de rendre plus efficace les transferts de noms. Un vaste chantier qui pourrait s’étendre sur plusieurs années…
Des préoccupations autour de la concentration du secteur
Indicateur des préoccupations de la communauté Internet, le forum public a cette année été marqué par de nombreuses questions autour de la concentration qui s’accélère parmi les acteurs des noms de domaine. Dernier en date Ethos Capital, une société de capital-investissement fondée en 2019 qui après avoir racheté l’opérateur du .ORG, PIR, vient de racheter Donuts qui gère pas moins de 242 nouvelles extensions génériques et qui avait récemment racheté Afilias qui est entre autre gestionnaire de l’extension .INFO. La communauté a exprimé des inquiétudes sur ces nouveaux acteurs dont les attentes ne sont pas nécessairement en phase avec l’un des totems de l’ICANN qui est de défendre la concurrence, la confiance et le choix des consommateurs. ICANN de son côté ne voit pas de problème dans ce phénomène devenu tendanciel car ces rapprochements déclenchent des procédures de contrôle très encadrées pour analyser et approuver les changements induits.
L’ICANN70 a mis en avant le fait qu’ICANN se penchait sur de nombreux sujets potentiellement très impactant dans la gestion des noms de domaine, des sujets qui dans la plupart des cas sont sur le point de se matérialiser par de nouvelles politiques que Nameshield va mettre en œuvre pour ses clients. Au delà de ce cadre, Nameshield, acteur français indépendant, a déjà mis en place des solutions qui apportent des réponses à des problèmes auxquelles ces politiques doivent remédier. N’hésitez pas à vous rapprocher de votre conseiller avec votre besoin pour que nous puissions étudier ensemble les solutions que nous pouvons déjà y apporter.
Si plusieurs extensions annoncent une augmentation de leurs tarifs en 2021, telles que le .CH, le .INFO, le .PRO ou encore le .SE, le .COM indique également une hausse à venir.
Les TLDs, ou extensions, sont gérés indépendamment par les registres qui fixent les prix auxquels ils proposent l’enregistrement de noms de domaine aux registrars accrédités. Ces tarifs peuvent évoluer au fil des années.
La hausse du prix du .COM, géré par la société américaine Verisign, est désormais clairement annoncée pour le dernier trimestre 2021.
Cette augmentation est une conséquence du mandat présidentiel de Donald Trump qui avait souhaité mettre un terme à la politique de contrôle des prix, instaurée par Barack Obama en 2012.
Aussi, le tarif bloqué depuis 2012, connaîtra une augmentation annuelle de 6.5% en 2021.
Il est à noter que le registre Verisign justifie cette future hausse par les 4 millions de dollars qu’elle devra verser sur les 5 prochaines années, afin de participer aux coûts de fonctionnement de l’ICANN, dans le cadre d’un Internet plus sûr.
Fin 2019, l’annonce de la vente du registre du .ORG, Public Interest Registry (PIR) par l’Internet Society à Ethos Capital, un fond d’investissement, a créé un véritable débat, ce qui a été par ailleurs le sujet d’un précédent article de ce blog.
Pour rappel, cette annonce a engendré plusieurs craintes des ONG telles que de voir les prix du .ORG augmenter et la mise en place de principes de protection des droits pouvant entraîner une forme de censure des ONG, comme la pratiquent déjà certains pays. Ces peurs ont poussé l’EFF (Electronic Frontier Foundation) à lancer une campagne de sensibilisation sur l’impact potentiel de cette vente : SaveDotOrg. A ce jour, 846 organisations et 25 119 personnes ont signé cette pétition demandant à l’Internet Society de cesser la vente.
A la suite de ces nombreuses
plaintes, l’ICANN a retardé l’approbation de la vente du registre du .ORG à
Ethos Capital et a demandé des informations supplémentaires à l’Internet
Society.
« Public Interest Commitments » : Les mesures proposées pour apaiser les préoccupations de la communauté du .org
En réponse à ces critiques, Ethos
Capital et le Public Interest Registry tentent de rassurer en proposant la mise
en place du « Public Interest Commitments » (PIC), des engagements assurant que l’augmentation tarifaire du .ORG
serait limitée.
Parmi ces engagements, ils
proposent également la création d’un « Stewardship
Council » (un conseil pour la bonne gestion du .org) pouvant influencer les prises de décision du PIR et ainsi
garantir le maintien de la liberté d’expression.
Ces engagements du PIC seraient
ajoutés dans l’Accord du registre (Registry
Agreement), contrat établi entre le registre et l’ICANN, relatif au
fonctionnement du registre.
Un registre à but lucratif pour défendre des organisations à but non lucratif ?
Lors du dernier sommet de l’ICANN organisé à distance du 7 au 12 mars derniers en raison de la pandémie du Covid-19, plusieurs ONG dont l’EFF ont abordé ce sujet du rachat du registre du .ORG par Ethos Capital et ont interrogé l’ICANN sur leurs projets d’examiner ce changement de propriétaire.
Selon l’EFF, la création de ce
conseil « Stewardship Council »
ne répondra pas aux inquiétudes des ONG. En effet, les premiers membres de ce
conseil seront directement ou indirectement sélectionnés par le PIR, et ce
dernier disposera d’un pouvoir de veto pour s’opposer aux nouveaux membres, ce
qui garantirait donc que ce conseil resterait en phase avec le PIR.
Concernant les prix du .ORG, selon
les ONG, la mise en place du PIC n’assure pas
une limitation de la hausse de prix. Une modification de l’accord du registre
pourra être négociée à tout moment entre le propriétaire du registre et
l’ICANN, malgré une opposition de l’opinion publique. C’est ce qui est arrivé en
juin 2019, quand l’accord du registre du .ORG a été révisé pour réduire les
droits des détenteurs du .org et supprimer le plafonnement des prix. L’ICANN a
de plus indiqué en 2019, sa volonté de ne plus tenir le rôle de régulateur de
prix, pourtant cette mise en place du PIC replacerait à nouveau l’ICANN dans
cette position.
Par conséquent selon les ONG, ces
« Public Interest Commitments »
ne protégeraient donc pas suffisamment la communauté du .ORG.
Les questions des ONG sont
restées sans réponse lors du dernier sommet ICANN, cette acquisition faisant
encore actuellement l’objet d’un examen de la part de l’ICANN.
« Nous reconnaissons les questions et les préoccupations qui sont soulevées », déclare l’ICANN. « Pour apaiser ces préoccupations et maintenir la confiance dans la communauté « .org », nous exhortons PIR, ISOC et Ethos Capital à agir de manière ouverte et transparente tout au long de ce processus. […] Nous évaluerons de façon réfléchie et approfondie l’acquisition proposée afin d’assurer que le domaine demeure sûr, fiable et stable».
En novembre 2019, un communiqué
annonçait que le registre du .ORG, le Public Interest Registry
(PIR), organisme sans but lucratif géré par l’Internet Society, allait être
racheté par Ethos Capital, un fonds d’investissement.
Le .ORG est l’extension de
référence pour les organisations à but non
lucratif. L’acquisition du PIR par Ethos a rapidement inquiété les structures
utilisant le .ORG au motif du dévoiement potentiel de l’extension par son
nouveau propriétaire qui, par essence même, a des visées lucratives.
La crainte ? Que les tarifs
d’enregistrements et de renouvellements des noms de domaine en .ORG
n’augmentent.
Pourtant, des personnalités clés
du monde de l’Internet, comme Andrew Sullivan (directeur de l’Internet Society)
se sont enthousiasmées, y voyant un partenariat stratégique fort et un apport
financier important permettant à l’Internet Society de poursuivre sa mission
d’un « Internet plus ouvert, accessible et sécurisé pour tout le
monde », tel qu’il l’écrivait dans le communiqué relatif à l’acquisition
du 13 novembre 2019.
Il semblerait que les peurs
générées trouvent leur origine dans ce rachat « surprise » et peu
transparent, puisque le montant de la transaction n’a pas été révélé.
Ces craintes se font bien sûr le
corolaire de la suppression le 30 juin 2019 du plafond imposé jusqu’alors aux
tarifs du .ORG (historiquement bas), par l’ICANN, malgré les nombreuses
réserves émises par la communauté. Enfin, le fait qu’Ethos ait directement ou
indirectement des liens étroits avec des anciens de l’ICANN posent problèmes à
plusieurs voix du secteur.
La peur de voir les prix du .ORG flamber a poussé l’Electronic Frontier Foundation (EFF) à lancer la campagne SaveDotOrg dont le but est de sensibiliser au potentiel impact que pourrait avoir une augmentation tarifaire du .ORG sur les contraintes budgétaires des ONG.
La possibilité également qu’Ethos
Capital mette ensuite en place un principe de protections des droits qui
pourrait mener à une forme de censure, comme la pratiquent actuellement
certains pays souhaitant faire taire des ONG.
Devant la levée de bouclier,
l’ICANN a suspendu l’opération de rachat en décembre dernier et réclame des
éclaircissements à l’Internet Society.
Plus récemment, en janvier 2020,
un nouveau candidat à la reprise de l’extension .ORG vient de se faire
connaître. Il s’agirait d’une société coopérative (Cooperative Corporation of
.ORG Registrants) rassemblant certains pionniers du Web et d’anciens membres de
l’ICANN.
Affaire à suivre !
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