Le registre du .SEXY augmente drastiquement ses tarifs

Le registre du .SEXY augmente drastiquement ses tarifs

Le registre propriétaire du .SEXY va drastiquement augmenter le tarif des nouveaux enregistrements sous cette extension à partir du 30 avril 2022, 18:00 (Europe/Paris).

Tous enregistrements, transferts et renouvellements d’un nom de domaine en .SEXY déposé après le 30 avril 2022 seront facturés 3850 € HT par an.

Cette très importante augmentation tarifaire, qui n’a pas été explicitée par le registre, s’appliquera uniquement aux noms de domaine enregistrés après cette échéance.

Les noms de domaine enregistrés avant le 30 avril pourront eux toujours être renouvelés au tarif actuel (70 fois moins élevé).

Pour protéger vos marques sans subir cette hausse, nous vous invitons à enregistrer vos noms de domaine en .SEXY dès à présent.

L’équipe Nameshield se tient, comme toujours, à votre disposition pour toute question.

Source de l’image : Site d‘Uni Naming & Registry (UNR)

Ouverture des enregistrements en .TZ

Ouverture des enregistrements en .TZ

Depuis le 1er Mars 2022, le registre tanzanien autorise l’enregistrement des .TZ.

Une première phase de 3 mois (jusqu’au 31/05/2022) permettra l’enregistrement aux titulaires des .CO.TZ enregistrés avant le 01/03/2022.

A compter du 01/06/2022, il sera possible d’enregistrer des .TZ équivalents aux noms récemment enregistrés en .CO.TZ (.co.tz enregistrés après le 01/03/2022).

Une ouverture générale est prévue le 1er Juillet 2022.

L’équipe Nameshield se tient à votre disposition pour toute question.

Source de l’image : carboblock via Pixabay

Lancement des enregistrements en .AU le 24/03/2022 – Rappel

Ouverture des enregistrements de noms de domaine en .AU

La date de l’ouverture des enregistrements de noms de domaine en .AU est annoncée au 24/03/2022.

Pour rappel, pendant les six premiers mois, le processus d’allocation prioritaire mis en place vous offrira l’opportunité de :

  • demander la correspondance exacte de vos noms de domaine déjà existants (.com.au / .net.au / .org.au etc) en .AU ;
  • d’enregistrer de « nouveaux » noms directement en .AU (noms qui n’existeraient pas dans d’autres extensions telles que .com.au, .net.au, .org.au etc.).

A noter : vos noms de domaine existants continueront à fonctionner normalement et conformément à la politique du registre auDA, indépendamment d’un enregistrement en .AU.

L’équipe Nameshield se tient à votre disposition pour toute question.

Source de l’image : kitkatty007 via Pixabay

Évolutions dans l’administration des extensions turques

Noms de domaine - Extensions turques .com.tr, .net.tr, .org.tr.

C’est un nouveau changement qui se préparait depuis quelques années dans le monde numérique de la Turquie.

Effectivement, l’administration des extensions en Turquie (.com.tr, .net.tr et .org.tr…) a été confiée à .TR Network Information Systems (« TRABİS ») qui sera incorporé sous l’Autorité des technologies de l’information et de la communication (« BTK »).

Avec TRABIS, des changements interviendront donc dans le processus d’attribution des noms de domaine.

L’attribution des noms de domaine sous les extensions com.tr, net.tr et org.tr, sous ce nouveau système sera libéralisée et répondra au principe du « premier arrivé, premier servi » (sans document justificatif requis).

Pour rappel, il était nécessaire sous la gestion par NIC.TR de justifier d’une marque ou du nom de la société via un document officiel pour enregistrer un .com.tr (extension la plus utilisée).

Il sera donc plus facile d’ici quelques semaines d’enregistrer un nom de domaine en Turquie.

Ce changement de règles était initialement prévu en janvier 2022 mais n’a finalement pas encore eu lieu.

BTK annoncera prochainement les dates officielles et nous espérons pouvoir vous confirmer cette libéralisation des .com.tr, .net.tr et .org.tr courant février 2022.

N’hésitez pas à préparer vos commandes et revenir vers vos consultant(e)s et chargé(e)s de clientèle pour faire un point sur votre portefeuille de noms de domaine en .com.tr.

Source de l’image : RiZeLLi via Pixabay

Ouverture prochaine du .BH

OUVERTURE PROCHAINE DU .BH - dot BH

C’est un nouvel élan pour le Bahreïn qui va ouvrir son extension .BH aux sociétés internationales.

Une phase prioritaire pour les titulaires de marques a actuellement lieu jusqu’en janvier 2022. L’ouverture globale est prévue pour le 2 Janvier 2022.

A noter que cette ouverture offrira d’abord une priorité aux sociétés locales jusqu’au 3 mai pour ensuite ouvrir à l’international.

Outre la copie de la marque qui sera nécessaire lors de la période de sunrise, nous attendons plus d’éléments quant aux documents supplémentaires qui seront demandés par le registre.

Calendrier de lancement du .BH :

  • Phase Sunrise : du 03/11/2021 au 02/01/2022
  • Phase LRP (Limited Registration Period) : du 03/11/2021 au 03/05/2022
  • Ouverture générale (locale) : 02/01/2022 au  03/05/2022
  • Ouverture générale (internationale) : 03/05/2022

Source de l’image : 12019 via Pixabay

[REPLAY WEBINAR] Créez votre extension Internet : les clés pour performer votre nouveau gTLD

[REPLAY WEBINAR] Créez votre extension Internet : les clés pour performer votre nouveau gTLD

Retrouvez sur la plateforme Webikeo, le replay du webinar « Créez votre extension Internet : les clés pour performer votre nouveau gTLD », animé par Arnaud Wittersheim, Responsable projets nouveau gTLD  – Responsable compliance de Nameshield et membre du CA de l’AFNIC,  avec la participation de Stefan Pattberg, Managing Director de DENIC Services.

Au programme de ce webinar, les experts aborderont :

  • Un panorama des politiques ICANN
  • Une revue des fonctions essentielles d’un gTLD
  • Un focus sur la fonction d’agent de séquestre avec DENIC Services
  • Des leviers de succès d’un gTLD à considérer

[WEBINAR] Créez votre extension Internet : les clés pour performer votre nouveau gTLD – Le 16 novembre à 15h

[WEBINAR NAMESHIELD] Créez votre extension Internet : les clés pour performer votre nouveau gTLD

Rendez-vous le 16 novembre prochain à 15h pour assister à notre webinar intitulé : Créez votre extension Internet : les clés pour performer votre nouveau gTLD.

Compte tenu de l’importance croissante d’Internet dans le monde économique, social et culturel, l’ICANN a lancé en 2012, un appel à candidatures afin d’introduire de nouveaux gTLDs de premier niveau.

Offrant aux entreprises la possibilité d’utiliser une marque ou une dénomination sociale comme extension (ex : .bnpparibas, .loreal, .alstom, .sncf), l’ouverture aux new gTLDs a également mis sur le marché plus de 1200 nouvelles extensions (ex. : .love, .bank, .xyz, .ski, .africa, .shop, .paris, .alsace, etc.).

Un deuxième appel à candidatures à venir permettra aux entreprises mais aussi aux villes de créer à nouveau de nouvelles extensions.

Connaissez-vous les fonctions essentielles d’un gTLD et les aspects qui sont à prendre en considération pour une extension efficiente ?

Grâce à nos experts, découvrez les informations clés pour performer votre nouveau gTLD, avec notamment un focus sur le rôle méconnu des agents de séquestre des données. Un webinar passionnant à ne pas manquer.

Ce webinar sera animé par :

  • Arnaud WittersheimNgTLD Project manager – Compliance manager de Nameshield group et membre du CA de l’AFNIC.
  • Lie Sue ChungChargée de projet compliance de Nameshield group.
  • Un représentant de DENIC.

Date : Mardi 16 novembre 2021 à 15h

Durée : 45 min

Pour y assister, il faudra au préalable vous inscrire sur la plateforme Webikeo (inscription gratuite) puis réserver votre place pour ce webinar. Vous pourrez ainsi participer en live à cette web-conférence et poser vos questions en direct.

Vous ne serez pas disponible ? Pas d’inquiétude, ce webinar sera également disponible en replay.

ICANN72, entre besoins de priorisation et risques de fragmentation

ICANN72, entre besoins de priorisation et risques de fragmentation

Fin octobre s’est tenu le 72ième sommet de l’ICANN consacré au développement des politiques qui impactent le système de noms de domaine (DNS) et la communauté Internet mondiale. Comme déjà annoncé durant cet été, ce dernier rendez-vous annuel allait se tenir en visio-conférences sur le fuseau horaire de Seattle aux Etats-Unis. Les « nuits blanches » n’étaient donc pas du côté de Seattle mais plutôt de l’Europe.

ICANN72, entre besoins de priorisation et risques de fragmentation

L’épine du prochain cycle de nouvelles extensions génériques

Un mois avant ce sommet, ICANN annonçait le calendrier de la phase de design opérationnelle (ODP) pour l’un des sujets les plus attendus par les parties contractantes : l’organisation d’un nouveau cycle de candidatures à de nouvelles extensions génériques. L’ODP est un nouveau dispositif désormais adossé au processus de développement de politiques (PDP). Il s’apparente à un cadrage de projet car il vise à identifier les étapes, les risques, les coûts et les ressources à allouer pour mettre en œuvre un projet, ici un nouveau cycle d’extensions génériques. Le PDP a été conduit entre 2015 et 2020, avec la remise d’un rapport final de recommandations au Board ICANN en mars de cette année. Ce n’est pourtant qu’en février 2023, soit près de deux années plus tard que le Board devrait examiner ces recommandations, le temps de laisser conduire l’ODP. ICANN a en effet confirmé avant l’ouverture de l’ICANN72 que cette phase de cadrage devrait durer seize mois dans sa totalité dont dix mois pour la conduite de l’ODP, trois mois en amont pour initier ce dernier et notamment constituer les équipes qui vont le conduire et trois mois en aval pour conclure les travaux. Un calendrier qui avait surpris beaucoup de parties contractantes et suscité de nombreux mécontentements. Ces mécontentements se sont particulièrement exprimés au travers du Brand Registry Group qui  représente et promeut les intérêts de ses membres, des propriétaires de dotBrand. Au premier jour du sommet de l’ICANN, pour la plupart des membres, les choses n’avancent pas suffisamment vite et l’ODP serait même en partie inutile puisque certains aspects recoupent les travaux déjà conduits durant le PDP préalable. Autre aspect pointé du doigt : un coût de 9 millions de dollars pour cette ODP, une somme non négligeable.

Les nuages s’amoncellent comme les processus en cours

Au fil des autres sessions programmées durant cette semaine de sommet, force est de constater que les nuages ont continué de s’amonceler dans la météo des politiques conduites par l’ICANN. Ainsi par exemple, l’annonce du lancement d’un processus de développement de politique dit expéditif (ePDP) pour réviser la procédure de résolution de litiges UDRP (Uniform Domain-Name Dispute Resolution Policy) qui permet de récupérer des noms de domaine litigieux, a suscité beaucoup d’incompréhension alors qu’une revue sur l’ensemble des mécanismes de protection des droits (RPM) a déjà été conduite entre 2016 et 2020 et que ses recommandations finales n’ont pas encore été examinées par le Board ICANN. Désormais cet examen du Board qui vise à valider les recommandations est prévu au mieux à l’été 2022, date à laquelle l’ePDP précité devrait être finalisé. Cet exemple a illustré le fossé qui est en train de se créer entre les attentes de décisions de la communauté et les instances décisionnaires de l’ICANN qui semblent dépassées par les processus de négociations de politiques qui s’empilent et s’étirent dans le temps, risquant au passage de rendre des décisions caduques si elles sont rendues trop tardivement. De l’aveu de certains, il en va même de la capacité de l’ICANN à toujours assumer sa mission inscrite dans ses textes fondateurs : Préserver et renforcer la stabilité opérationnelle, la fiabilité, la sécurité et l’interopérabilité mondiale de l’Internet.

« Priorisation », le mot est lâché

Dès le premier jour des sessions, Goran Marby, le patron de l’ICANN s’est défendu contre l’idée que le Board tardait à prendre des décisions. Il a ainsi mis en avant que ce dernier a récemment examiné 228 recommandations du Competion Consumer Choice & Consumer Trust (CCT) qui vient de conduire un examen pour évaluer dans quelle mesure l’expansion des extensions génériques, les gTLDs, a favorisé la concurrence, la confiance des consommateurs et leur choix. 166 ont été approuvées à ce jour, 44 placées en attente et 18 rejetées. Beaucoup de ces mesures sont corrélées à des conduites d’études et à la collecte de données pour mieux comprendre les tendances du marché des nouvelles extensions.

Goran Marby, a également justifié les délais sur les prises de décisions en raison du grand nombre de sujets en cours dont certains se chevauchent et par le fait que pour trancher ICANN a parfois besoin d’expertise additionnelle. Pour répondre aux critiques, il a également indiqué que l’ICANN travaille désormais sur une forme de priorisation, un souhait formulé par NAMESHIELD qui semble donc avoir été entendu. Marteen Botterman du Board a toutefois nuancé en précisant que la priorisation n’est pas du ressort du Board car il doit veiller à respecter le modèle multipartite et se doit donc de garder une certaine neutralité sur les sujets qui lui sont soumis.

Un risque de fragmentation

D’une organisation qui a du mal à prendre des décisions, à sa remise en question il n’y a qu’un pas. Dès le premier jour des sessions, Goran Marby, particulièrement impliqué dans les échanges, a parlé de « menaces contre l’ICANN ». ICANN travaille donc à un cadre de gestion des risques de l’organisation. Il a également évoqué le besoin de discuter plus étroitement avec les gouvernements dans un contexte de remise en question du modèle de gouvernance actuel. Il suffit en effet de regarder du côté de la Russie pour voir qu’en novembre 2019, le pouvoir russe a introduit de nouvelles réglementations qui créent un cadre juridique pour une gestion étatique centralisée de l’Internet à l’intérieur des frontières de la Russie. La Russie a également proposé de confier la gestion des serveurs racines à des États membres des BRICS (Brésil, Russie, Inde, Chine et Afrique du Sud). Preuve que les Etats passent à l’offensive au niveau de leurs législations, de récentes directives européennes impactent également la gouvernance comme le Règlement Général sur la Protection des Données (RGPD), ou encore la directive NIS2 (Network and Information Systems) à venir, des sujets également rappelés à l’occasion de ce sommet. Autre exemple, en Chine, c’est une loi renforçant les contrôles sur les services numériques opérés en Chine qui vient d’être adoptée.

L’échec du modèle de gouvernance de l’ICANN s’il venait à se confirmer, pourrait donc conduire à une fragmentation du système DNS tel que nous le connaissons actuellement, une fragmentation qui prend corps à mesure que l’ICANN s’enlise dans des débats stériles. Ce sommet a mis en lumière que la communauté et les dirigeants de l’ICANN ont identifié ce risque. Il s’agit pour l’avenir d’y remédier. Rendez-vous à l’ICANN73 en mars 2022.

Le constat d’enlisement des politiques de régulation du DNS particulièrement présent lors de l’ICANN72 a été largement partagé par NAMESHIELD bien avant ce sommet. NAMESHIELD avait notamment fait part d’un besoin de priorisation des sujets en accord avec la communauté lors de la session préparatoire de l’ICANN72. NAMESHIELD qui participe à des groupes de travail œuvrant aux recommandations dans le cadre des revues périodiques conduites par l’ICANN, a également plaidé pour ré-enchanter le volontariat et pour contribuer à la diversité des représentants dans ces groupes de travail, beaucoup étant aujourd’hui acculés par un volume croissant de sujets à considérer à mesure que les processus s’accumulent et que les décisions ne suivent pas. Quant aux nouveaux participants, ils sont dissuadés de s’intéresser à ces sujets du fait de processus trop longs et trop lourds.

Source de l’image : David Mark via Pixabay

Nouvelle fiche : 5 minutes pour comprendre les extensions de noms de domaine (TLD)

Fiche 5 minutes pour comprendre - Les extensions de Noms de domaine - Nameshield

Les « Top Level Domains » également appelés TLD ou extensions, sont définis par l’IANA (Internet Assigned Numbers Authority) qui dépend de l’ICANN depuis 1998.

L’ICANN et l’IANA sont en charge d’allouer l’espace des adresses de protocole Internet (IP), d’attribuer les identificateurs de protocole et de gérer le système de noms de domaine de premier niveau, c’est-à-dire les « Top Level Domains ».

Découvrez dans cette fiche 5 minutes pour comprendre, disponible en téléchargement sur le site de Nameshield, les différents types de domaines de premier niveau.

Ouverture des enregistrements de noms de domaine en .AU prévue pour Mars 2022

Future ouverture des enregistrements de noms de domaine en .AU

Nous avons évoqué dans un précédent article la future ouverture des enregistrements de noms de domaine en .AU, mais celle-ci a été reportée à plusieurs reprises.

Le registre australien vient d’annoncer la date d’ouverture des dépôts en .AU qui sera prévue pour le 24/03/2022, avec une phase prioritaire de 6 mois réservée :

  • aux titulaires de noms de domaine en extensions de deuxième niveau (par exemple .COM.AU) pour enregistrer leur équivalent en .AU.
  • aux enregistrements en .AU de nouveaux noms qui n’existent pas en extensions de deuxième niveau.

Pour plus d’informations sur les conditions d’enregistrement de votre .AU, n’hésitez pas à nous contacter.

Source de l’image : kitkatty007 via Pixabay