Petit-Déjeuner BRAND PROTECTION

Le 14 avril, Nameshield organisait un petit-déjeuner sur le thème de la « BRAND PROTECTION »

 

Après un bref rappel des fondamentaux en ce qui concerne le web et les noms de domaine, les speakers, Geoffroy DARRIEUS, Expert en brand protection, et Sarah KOPYC, Juriste – consultante, ont pu développer la méthodologie à suivre et les outils à utiliser pour protéger sa marque sur le web et l’optimiser au maximum.

Les noms de domaine sont des actifs immatériels liés à la marque qu’il est impossible de négliger tant sur un plan stratégique que juridique et qui peuvent être de vraies sources de profit, à condition qu’ils soient bien utilisés. Leur optimisation commence par un audit du portefeuille suivi d’un certain nombre de bonnes pratiques, aussi bien techniques qu’humaines, à mettre en place. Nameshield a également rappelé les solutions juridiques existantes en cas de litiges concernant les marques et les noms de domaine.

Les experts et les invités ont ainsi pu échanger sur des problématiques communes qu’ils rencontrent au quotidien.

En bref, une conférence riche en informations et en échanges, aussi digeste que les viennoiseries proposées !

PDEJ BP
Geoffroy Darrieus, Expert Brand Protection

Si vous êtes intéressé par les thématiques de protection de marque sur le web, n’hésitez pas à nous rejoindre lors d’un prochain petit-déjeuner « Brand Protection » ou « Sécurité Web » qui ont lieu tous les mois.

Pour plus d’informations, envoyer un mail à : communication@nameshield.net

Petit-déjeuner Nameshield

Le 9 février dernier, Nameshield accueillait pour un petit-déjeuner sur le thème suivant : « Comment gérer les conflits entre marques et noms de domaine et vous protéger techniquement contre les attaques dans le cyberespace ? »

Lucie LOOS, Isabelle TOUTAUD et Véronique DAHAN
Lucie LOOS, Isabelle TOUTAUD et Véronique DAHAN

Les aspects aussi bien juridiques que techniques ont pu être abordés grâce à la présence de Lucie LOOS, experte DNS et sécurité du groupe Nameshield, Véronique DAHAN du Cabinet August & Debouzy, ainsi que d’Isabelle TOUTAUD, Directrice juridique à l’AFNIC.

Plus de 100 personnes ont répondu présentes à cette conférence. Des profils très variés se sont rencontrés pour se tenir informés des dernières actualités. Dirigeants, directeurs juridiques, directeurs techniques, directeurs marketing et leurs dérivés ont ainsi pu échanger sur des problématiques communes qu’ils rencontrent au quotidien.

Cette conférence était l’occasion de rappeler que les noms de domaine, qu’ils soient rattachés ou non aux marques corporate, ombrelle ou de produits ou services, sont des actifs à part entière qu’il est impossible de négliger tant sur un plan stratégique que juridique. En effet, face à la montée des attaques sur le web, la sécurité est une priorité pour protéger ses actifs immatériels et sa marque.

Les experts présents ce jour-là ont donc fait le point sur les conflits pouvant exister entre marques/signes distinctifs et noms de domaine, d’une part devant les juridictions françaises et d’autre part via les procédures extra-judiciaires mises en place spécifiquement pour régler ces conflits.

Ensuite, Lucie LOOS, experte DNS et sécurité du groupe Nameshield, a présenté les protections techniques les plus adéquates pour protéger ses actifs immatériels contre les attaques en ligne et se prémunir de la cybercriminalité.

En bref, une conférence riche en informations et en échanges, aussi digeste que les viennoiseries proposées !

Si vous êtes intéressé par les thématiques de protection de marque sur le web, n’hésitez pas à nous rejoindre lors d’un prochain petit-déjeuner « Brand Protection » ou « Sécurité Web » qui ont lieu tous les mois.

Pour plus d’informations, envoyer un mail à : communication@nameshield.net

 

Petit-déjeuner Nameshield – « Brand Protection »

 

BPLe 3 Novembre dernier, Nameshield organisait son deuxième petit-déjeuner sur le thème cette fois-ci de la « Brand Protection ». L’occasion pour les nombreux invités présents de  découvrir pour certains et approfondir pour d’autres les dangers que représente le web pour leur marque et, surtout, les moyens concrets pour la protéger.

La conférence a débuté par un rappel des chiffres du web et de la contrefaçon, avant d’aborder les sujets plus techniques et juridiques.

25% du web seulement indexé par Google

La cybercriminalité représente 190 milliards d’euros en 2013

La moitié des entreprises françaises ont déjà été confrontée à la contrefaçon

Un médicament sur deux vendu sur Internet est un faux et entraîne la mort de 700 000 personnes par an

Ce qu’il faut retenir de la leçon :

  • Anticiper les attaques
  • Contrôler sa marque sur le web
  • Protéger ses actifs immatériels contre les usages abusifs
  • Surveiller ses noms de domaine en cohérence avec ses marques
  • Réagir avec efficacité face aux attaques (procédures juridiques…)

En guise de conclusion, un point sur l’avancé des nouvelles extensions et l’enjeu des .BRAND

Une conférence de qualité après un petit-déjeuner convivial qui fut l’occasion d’échanger, de partager les expériences, et surtout, d’avoir des réponses concrètes aux problématiques web auxquelles chaque entreprise fait face grâce à une équipe d’experts aussi compétents qu’agréables.

Le prochain petit-déjeuner Nameshield à ne surtout pas louper ?

  • 24 Novembre 2015 : Petit-déjeuner « Sécurité Web »
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Sarah Kopyc – Juriste – Consultante chez Nameshield Group

17 novembre : lancement officiel du .VIN

vin2Les noms de domaine du Vin ont bel et bien été l’objet d’un dossier controversé. Pourtant, l’idée de créer des noms de domaine spécifiques à cette industrie – que dire – à cet “univers” nous est chère et n’est pas si récente. En effet, l’histoire des noms de domaine “.vin » commence en 2008.

Une bien longue histoire

A l’origine, il s’agit d’une idée qui émerge lorsque l’ICANN annonce qu’il va autoriser les entreprises à déposer des candidatures pour gérer des extensions Internet. Nous parlons de projets de Registres. Dès 2009, on commence à entendre parler d’un “projet dotVinum”, pour les Registres du Vin : une initiative française qui entend déposer 3 candidatures pour des extensions “.vin”, “.wine” et “.vino”. Le programme ICANN des nouvelles extensions prend alors du retard jusqu’à l’annonce publique des projets en 2012. Lors de la publication des projets, trois candidats se dévoilent : l’un à Gibraltar, avec son extension “.wine”, l’autre en Irlande, avec une candidature au “.wine”, et un Américain qui présente deux candidatures. La première au “.wine”, la seconde…au “.vin”. Pas de candidature française à l’horizon.

Quoi de neuf depuis 2012?

Les dossiers “.wine” et “.vin” auront été des plus polémiques. Très politisés, ils deviennent rapidement un sujet d’échanges violents entre différentes instances gouvernementales et vinicoles, car les acteurs du secteur du vin le savent bien : il y a de nombreuses discordances sur le sujet entre l’Europe et les Etats-Unis. Des discordances avec l’ICANN aussi : l’organisme de gouvernance Internationale des noms de domaine qui valide les nouvelles extensions Internet. La France, par le biais de ses porte-drapeaux, dont Axelle Lemaire – Secrétaire d’Etat au Numérique – et la Confédération Nationale des producteurs de vins et eaux de vie de vin à Appellations d’Origine Contrôlées (CNAOC), monte très tôt au front et pointe du doigt le manque de protection des indications géographiques. En 2015, un accord secret est signé entre les parties intéressées: le géant américain Donuts, exploitant des deux extensions “.vin” et “.wine” dont cette dernière est remportée lors d’une enchère et la Commission Européenne.

A quoi devons-nous nous attendre?

15685676486_49c16b65f9_nDes noms de domaine qui se terminent en “.vin”, au lieu de “.com”, cela signifie que l’identité du vin sur le web doit s’attendre à un véritable tournant. Tout comme l’on a inventé un jour les marques commerciales afin de désigner des services ou des produits, on a inventé les noms de domaine pour les désigner sur Internet : les nouvelles extensions Internet ont pour vocation d’apporter une précision supplémentaire aux noms de domaine : une identité, symbole d’authenticité. Et pour le Vin, quoi de mieux…que des noms de domaine qui se terminent…en “.vin” ?

S’il est probable que marques et marchands de vins sur Internet ne passent pas au “.vin” tout de suite, les éléments ci-dessous sont à garder en mémoire :

  1. Les noms de domaine “.com” ne voudront, à l’avenir, plus rien dire;
  2. Les nouvelles générations grandiront avec les noms de domaine “.vin”;
  3. Négliger d’enregistrer son “.vin” (et pourquoi pas son “.wine”), c’est un peu comme aller à la boulangerie sans acheter de pain. Ce n’est qu’à table que l’on se rend compte qu’il manque quelque chose. Malheureusement, s’il est de toute façon trop tard pour y retourner, il est également fort probable qu’il n’y en ait plus.
  4. La bouteille en verre fut inventée longtemps après la plus hygiénique des boissons, pourtant on l’utilise encore aujourd’hui et ce n’est pas près de s’arrêter;
  5. Sur un passeport français, il y a écrit “République française”. L’extension Internet désigne la même chose: votre groupe d’appartenance, votre communauté;
  6. Pour les marques : la “Trademark Clearinghouse” est le seul mécanisme juridique qui vous permet d’enregistrer votre nom de domaine en amont. C’est la première étape d’enregistrement privilégiée créée à l’attention des marques.

4764540278_7e92c14aec_bLe Groupe Nameshield est heureux de vous annoncer les dates de lancement des noms de domaine “.vin” et “.wine” : celles-ci commenceront le 17 Novembre 2015. Et si vous êtes une marque, nous vous invitons à prendre contact très rapidement avec nos services pour vous préparer à enregistrer votre nom de domaine en période de Sunrise. Les Indications Géographiques vont bénéficier d’un mécanisme de protection supplémentaire qui sera aussi annoncé.