Retrouvez sur Webikeo le replay du webinar « Renforcez la sécurité de vos emails : DMARC devient obligatoire chez Google et Yahoo dès Juin 2024 ! » diffusé le 14 mai dernier.
Dans un monde où la fraude par email prend un essor sans précédent, Google et Yahoo renforcent la sécurité email en poussant l’adoption du protocole DMARC.
Au cours de ce webinar, découvrez quelles sont les nouvelles règles imposées par Google et Yahoo et comment déployer une politique DMARC efficace afin d’être en conformité avec ces nouvelles exigences, d’assurer la délivrabilité de vos emails et d’éviter les usurpations d’identité et le phishing.
Webinar animé par :
Jean-Raphaël HOUDIN, Senior Technical Lead de Merox
Pour découvrir l’outil de mise en conformité DMARC de Merox, inscrivez-vous au webinar prévu le mardi 28 mai à 11h pour une démonstration de la solution :S’inscrire au webinar.
Google et Yahoo ont récemment annoncé des changements significatifs dans leurs exigences en matière d’authentification des e-mails. Ces ajustements visent à renforcer la sécurité des communications en ligne, un enjeu majeur dans le contexte actuel de la cybercriminalité.
Les deux géants du secteur mettent l’accent sur l’adoption de protocoles d’authentification avancés, en particulier le DMARC (Domain-based Message Authentication, Reporting, and Conformance). Le DMARC repose sur les normes existantes SPF et DKIM, fournissant une méthode robuste pour vérifier l’authenticité des e-mails et réduire les risques d’usurpation d’identité et de phishing.
Pour mettre en œuvre ces nouvelles exigences, Google et Yahoo ajusteront leurs algorithmes pour donner la priorité aux e-mails provenant de domaines qui ont correctement implémenté le DMARC. Cette mesure vise à améliorer la délivrabilité des e-mails authentifiés, renforçant ainsi la confiance des utilisateurs dans la sécurité de leurs boîtes de réception.
Ces nouvelles directives s’appliqueront à compter du 1er février 2024 pour tous les expéditeurs qui émettent plus de 5 000 emails par jour. Elles soulignent l’engagement de Google et Yahoo à lutter contre les menaces en ligne, en particulier le phishing, une méthode courante utilisée par les cybercriminels pour tromper les utilisateurs et accéder à leurs informations sensibles. En adoptant des exigences plus strictes en matière d’authentification des e-mails, ces entreprises renforcent la protection des utilisateurs contre les attaques malveillantes.
Il est maintenant crucial pour les propriétaires de domaines et les acteurs du monde numérique de se conformer à ces nouvelles directives afin de contribuer à la création d’un Internet plus sûr et plus sécurisé pour tous.
Les experts de Nameshield se tiennent à votre disposition pour vous accompagner dans le déploiement de ce protocole.
Lors d’un rebranding, pour des raisons marketing, dans le cadre d’une fusion ou d’un rachat par exemple, une société peut être amenée à changer de nom de domaine pour son site.
Au niveau des moteurs de recherche, c’est alors toutes les pages qui changent, comme si il s’agissait d’un nouveau site web. Dès lors, comment ne pas perdre le travail effectué sur le référencement et opérer une transition réussie, notamment si le site est ancien ?
Dans le cas d’un site assez ancien, avec un référencement optimal sur le nom de domaine existant, transférer le site sur un nouveau nom peut anéantir ce travail de longue haleine que représente le SEO. Si une baisse de trafic naturel est normale (et temporaire), quelques conseils peuvent permettre d’amoindrir ce ralentissement, à tout le moins pendant la période de transition.
Copier son site à l’identique et mettre en place des redirections 301
Le premier conseil est de conserver intégralement l’architecture du site, afin que seul le nom de domaine change dans l’URL.
Il faudra ensuite créer des redirections permanentes (redirections 301)
de chacune des pages de l’ancien site vers la page correspondante du nouveau
site. Veuillez à ne pas mettre en place de redirections multiples.
Ce processus doit être suivi de près, afin de s’assurer que chaque redirection 301 est opérante. Les moteurs de recherche vont ainsi savoir qu’il n’est plus nécessaire d’indexer l’ancien nom mais qu’il faut désormais indexer le nouveau. Pour cela, il faut vérifier qu’aucune des anciennes pages n’est accessible via l’ancien nom de domaine.
Faire mettre à jour les backlinks
Google use dans son algorithme des paramètres liés à des indices de confiance et donc des sites de confiance, jugés comme tels par le moteur (des facteurs comme l’ancienneté du site, la clarté des mentions légales, le ratio nombre de liens/nombre de mots par page, le nombre de liens pointant depuis d’autres sites vers celui-ci, les extensions comme .edu, .gov, les sites institutionnels, les sites médias, etc.) Aussi peut-il être intéressant d’obtenir assez vite au moment de la migration des liens venant de ce type de site de confiance. Dans la même lignée, revoir vos backlinks et demander aux sites qui renvoient vers vous de bien vouloir mettre à jour ces liens, pour qu’ils adressent vers le nouveau nom est un atout. Bien sûr, si vos backlinks sont très nombreux, concentrez-vous sur les plus importants en matière de référencement.
Informer Google
Enfin, il est possible d’informer directement Google du changement via la
Google Search Console, le moteur actualisera ensuite son index.
Déclarer le sitemap
En soumettant un fichier sitemap pour le nouveau site aux moteurs de
recherche, vous gagnez en temps de référencement en donnant immédiatement aux
moteurs les pages à indexer.
Garder le même titulaire pour le nouveau nom de domaine
Faites en sorte que le nouveau nom de domaine ait les mêmes informations propriétaires sur son whois que l’ancien nom de domaine. Google peut être amené à vérifier ces données.
Être patient
A noter, sur Bing il vous faudra en moyenne 2 mois pour retrouver votre référencement, sur Google environ 6 à 7 mois.
Après le lancement du .APP, .PAGE
et .DEV entre autres, Google (Charleston Road Registry), lance la nouvelle
extension .NEW dès le 15 octobre
2019 en phase Sunrise.
Prérequis à respecter pour l’enregistrement d’un .NEW
Tous les noms de domaine en .NEW ont pour obligation d’aboutir à une page dédiée à la création de contenu en ligne ou à la génération d’actions. L’internaute devra en effet pouvoir « créer » quelque chose depuis la page affichée sans navigation supplémentaire. Par exemple, docs.new propose une page dédiée proposant l’utilisation directe du logiciel de traitement de texte en ligne de Google, permettant ainsi la création d’une nouvelle page document.
Les domaines en .NEW devront être mis en ligne dans un délai de 100 jours suivant
l’enregistrement.
Si ces prérequis ne sont pas
respectés, le registre considérera que l’enregistrement n’est pas conforme. Dans
ce cas, le nom sera mis en attente, le titulaire sera alors notifié pour
corriger et appliquer ces conditions, à défaut, le nom sera bloqué puis
supprimé.
Calendrier de lancement du .NEW
Phase Sunrise : du 15/10/2019 au 14/01/2020
LRP (Limited Registration Period) : du 14/01/2020 au 14/07/2020
Ouverture totale : à partir du 21/07/2020
Pour plus d’informations sur les conditions d’enregistrement de votre .NEW, n’hésitez pas à nous contacter.
Après les lancements du .APP et
du .PAGE, Google a lancé sa nouvelle extension .DEV, dédiée aux développeurs et à la technologie, le 16 janvier
dernier suivant le calendrier ci-dessous :
Phase Sunrise : du 16/01/2019 au 19/02/2019
EAP (Early Access Program) : du 19/02/2019 au
28/02/2019
Ouverture totale : à partir du 28/02/2019
Depuis le 28 février 2019, le .DEV est en ouverture totale et compte déjà plus de 64 000 enregistrements de noms de domaine, selon Domain Name Wire.
Pour promouvoir cette nouvelle extension et à l’occasion du Google I/O 2019, son événement annuel à destination des développeurs (qui se tiendra du 7 au 9 mai 2019 au Shoreline Amphitheatre, à Mountain View), Google propose l’enregistrement gratuit d’un nom de domaine en .DEV pour une durée d’1 an pour tout billet réservé. Mais les enregistrements résultant de cette campagne promotionnelle ne représentent qu’une petite part des 64 000 noms de domaine en .DEV enregistrés.
Au cours des derniers
mois, Google a lui-même lancé ou relancé plusieurs de ses propres sites en .DEV : web.dev, opensource.dev,
flutter.dev…
D’autres entreprises
ont également opté pour l’enregistrement de leurs noms de domaine en .DEV
telles que Mozilla avec mdn.dev, Salesforce avec crm.dev ou encore Level Access
avec accessibility.dev.
Le HTTPS obligatoire pour tous les noms de domaine en .DEV
Comme évoqué dans un précédent article par Christophe GERARD, Security Product Manager de Nameshield group, pour rappel, Google, dans sa volonté d’un Internet toujours plus sécurisé, rend le chiffrage HTTPS obligatoire pour tous ses nouveaux TLDs : .APP, .PAGE, .HOW, .DEV … (Retrouvez les détails dans cet article).
Ainsi l’extension .DEV est donc incluse dans la liste de
pré-chargement HSTS, imposant le protocole HTTPS pour tous les noms de domaine en .DEV.
Par conséquent, pour
pouvoir utiliser un nom de domaine en .DEV,
il vous faudra acquérir un certificat SSL et déployer HTTPS.
Des outils aux plateformes, des langages de programmation aux blogs, cette extension vous permettra de mettre en avant vos projets. N’hésitez pas à contacter un consultant Nameshield pour toutes questions concernant les conditions d’enregistrement de votre .DEV.
Le 14 juin 2018 se tenait une conférence organisée par l’EBG, sur le thème des alternatives au géant Google, et plus globalement aux GAFA. Y étaient présents des ambassadeurs de la réussite française : Arno Pons (DG de l’agence 5ème Gauche), Mathieu Llorens (DG d’AT Internet), Xavier Perret (CDMO d’OVH), Geoffrey La Rocca (DG de Teads), ainsi qu’Antoine Jouteau (DG de LeBonCoin).
En cette année de RGPD, la position de leader de Google pose plus que jamais la question sur la protection de nos données, mais pas seulement. Sa position dominante est de plus en plus contestée par les entreprises européennes, qui critiquent une concurrence déloyale. À la question « qu’est-ce qui vous différencie des GAFA ? », les orateurs répondent l’indépendance, la maîtrise totale des données, l’expertise forte dans un secteur en particulier.
Comment analysent-ils le succès des GAFA ? L’exemple Google
Le premier facteur de réussite de Google, selon Mathieu Llorens, est sa gratuité. Elle permettrait au géant américain de détruire tous les écosystèmes dans lesquels il s’introduit : publicité, médias, moteur de recherche. Après son installation dans le secteur, la monétisation démarre pour obtenir des services de plus grande qualité. C’est ce qui permet à Google, selon le DG d’AT Internet, de ne laisser aucune chance à ses concurrents. Le second facteur, sur lequel tous les intervenants s’accordent, est la faculté de Google d’être à la fois fournisseur et concurrent de ses clients. Son positionnement ambigu fait de la société une menace omniprésente.
Quel phénomène est le plus dangereux dans l’hégémonie des GAFA ?
Pour tous les participants à la table ronde, l’enjeu démocratique est fort. Mathieu Llorens démontre le lien réel entre l’augmentation du chiffre d’affaires de Google et la diminution des emplois dans le domaine des médias. Il est soutenu par Geoffrey La Rocca qui soutient que l’Etat se doit d’investir auprès de ce secteur. Antoine Jouteau, lui, pointe le risque de « trop » de diversification des acteurs américains, phénomène par ailleurs déjà enclenché. Tous les intervenants s’accordent sur les efforts établis par les entreprises européennes à l’occasion de la RGPD, qui démontrent une volonté de gestion propre des données personnelles. Xavier Perret et Antoine Jouteau insistent sur la différence de vision sur la protection des données entre les Etats-Unis et l’Europe. Un des phénomènes les plus dangereux causé par la montée exponentielle des GAFA est la surutilisation des données personnelles dans le but de développer des services annexes.
Comment faire sa place en tant qu’entreprise française ?
Selon Antoine Jouteau, l’Europe tient un rôle primordial dans la protection de ses acteurs : la responsabilité n’est pas uniquement française. Dans un premier temps, les GAFA doivent être mis sur un pied d’égalité en ce qui concerne les taxes, afin de ne pas défavoriser les entreprises européennes. Le Directeur Général de LeBonCoin insiste sur l’importance du regroupement des acteurs français/européens pour peser dans le débat public. Aller défendre seul les intérêts du numérique auprès des instances européennes est vain, selon lui. Le rôle des dirigeants d’entreprise est d’assurer la compréhension des enjeux d’une omniprésence des GAFA. Xavier Perret, lui, parle d’une cohérence à adopter pour défendre les services européens en les privilégiant dans la vie quotidienne.
Les intervenants présents à l’EBG confirment tous la prise de conscience en cours chez les entreprises françaises, et alertent sur le rôle de chacun dans la promotion de l’utilisation des services européens.
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