ICANN76, Sally Costerton, la nouvelle présidente par intérim de l’ICANN imprime son style

Candidate en mars 2020 puis en mars 2021, la ville de Cancun aura finalement dû attendre mars 2023 et la fin de la pandémie de COVID pour retrouver une nouvelle édition d’un sommet de l’ICANN en présentiel. 2023, une année très importante pour l’organisation. Celle-ci va en effet célébrer ses 25 années d’existence alors qu’elle traverse une période à risques avec une présidence intérimaire après la démission de son Président le 22 décembre 2022.

ICANN76, Sally Costerton, la nouvelle présidente par intérim de l’ICANN imprime son style

Deux femmes à la tête de l’instance

C’est l’anglaise Sally Costerton qui était vice-présidente du Global Stakeholder Engagement (GSE) en charge de l’engagement et de la sensibilisation des parties prenantes à l’ICANN et à sa mission dans le monde entier depuis 2012, qui a été nommée Présidente Directrice Générale par interim de l’ICANN suite au départ de Goran Marby fin 2022. Elle est secondée par Tripti Sinha, qui occupe la fonction de présidente du conseil d’administration de l’ICANN. Tripti est également vice-présidente adjointe et directrice de la technologie à l’université du Maryland, au sein de la division des technologies de l’information. C’est la première fois que l’ICANN a à sa tête deux femmes. La situation fait toutefois écho à la création de l’ICANN. Comme cela a été rappelé lors de la cérémonie d’ouverture, en 1998, année où le gouvernement américain confia à l’ICANN la mission de gérer le système d’adressage DNS, une femme occupait également la position de présidente du conseil d’administration. Il s’agissait d’Esther Dyson.

Si les interims de direction sont rares à l’ICANN, cette situation a donné lieu à l’organisation d’une session particulière nommée « L’avenir de l’ICANN et le prochain président-directeur général ». Une session où l’on pouvait s’attendre à ce que les participants puissent interagir avec le nouveau Conseil d’Administration. Il n’en a rien été puisque cette session s’est apparentée à une sorte de micro libre sans interlocuteur direct pour exprimer les attentes vis-à-vis de la nouvelle Direction de l’organisation.

Qui dit interim pour une organisation de gouvernance dit également période à risques, d’autant que les sujets à adresser ne manquent pas et que le contexte géopolitique tend vers une fragmentation accrue. Toutefois, si l’on ne connait pas la durée de l’interim de présidence, Sally Costerton a su rapidement imprimer sa marque dès le début du sommet où elle a notamment déclaré  « Je ne suis pas au fait de tout mais je m’appuie sur des experts ». Des propos de nature à rassurer et qui dénote une approche pragmatique.

La transparence à l’épreuve de l’expérience

L’ICANN est une organisation bien rodée puisqu’elle tient des sommets depuis 25 années. La tendance observée ces dernières années, était que les Organisations de soutien (SO) et Comités consultatifs (AC) qui la constituent, allaient vers plus de transparence en ouvrant toutes leurs sessions au public. La transformation la plus significative est à mettre au crédit du GAC, l’instance représentant les gouvernements dont les sessions ont été fermées de nombreuses années avant d’être totalement ouvertes à tous les participants. L’occasion de saluer le travail de Manal Ismail, qui après près de six années à la tête du GAC, laisse sa place au paraguayen Nicolas Caballero. Une tendance globale donc de nature à générer de la confiance, une valeur clé pour répondre aux détracteurs de plus en plus nombreux du mode gouvernance de l’ICANN.

Mais cette tendance s’est inversée lors de ce sommet car de nombreuses sessions étaient fermées, des « Closed sessions » auxquelles même certains utilisateurs affiliés n’ont pas pu avoir accès ni en présentiel ni en distanciel. Des participants remontés, n’ont d’ailleurs pas manqué de le souligner lors du traditionnel Forum Public qui clôture généralement la semaine de réunions.

Des avancées à marche forcée ?

L’approche consensuelle, marque de fabrique de l’ICANN, est à la fois un atout pour fédérer le plus d’acteurs autour des obligations qui sont adoptées mais aussi une tare car cela ralentit considérablement l’avancée de travaux importants.

Exemple marquant, celui des abus du DNS. Les usages malveillants sont en effet un réel problème étant donné les préjudices subis par les usagers d’Internet impactés. Le GAC n’a pas manqué de le rappeler une nouvelle fois lors d’une session où des experts externes ont été conviés comme un représentant du Bureau Fédéral d’Investigation, le FBI. Ce dernier a indiqué qu’au niveau des Etats-Unis, en 2022 plus de 800,000 noms de domaine ont fait l’objet de plaintes causant des pertes supérieures à 10 milliards de dollars US. Si le sujet des abus du DNS n’a pas manqué de s’inviter à chaque sommet de l’ICANN au fil des années passées, force est de constater que le consensus a montré ses limites. Les parties prenantes présentes au GNSO, l’instance chargée des politiques des noms génériques, ne sont en effet jamais parvenues à s’entendre sur la voie à suivre entre notamment un Processus de développement de politique ou des négociations contractuelles pour réviser les contrats des parties prenantes avec l’ICANN. Après des consultations des parties prenantes, c’est finalement le second moyen qui a été retenu par le GNSO et le moins que l’on puisse dire c’est que lors de l’ICANN76, la volonté affichée était cette fois de vite parvenir à un résultat. Un amendement des contrats des registres et des bureaux d’enregistrement est en cours d’élaboration et doit être présenté en juin puis soumis aux votes des parties concernées dès octobre.   

Le GNSO entend s’appuyer sur la dynamique d’un autre amendement des contrats soumis aux votes des parties prenantes: un amendement « RDAP ». Le RDAP est un protocole alternatif au Whois qui permet de consulter les données d’enregistrement des noms de domaine. L’issue des votes et donc de l’adoption de ces révisions de contrats, demeurait incertaine à la fin du sommet de l’ICANN car différents seuils de participation et de votes favorables doivent être atteints.

Adoption partielle des recommandations pour des séries ultérieures de nouveaux gTLDs

Autre sujet que certains aimeraient voir avancer plus vite, celui de prochaines séries de nouvelles extensions génériques. Il faut en effet remonter à janvier 2012, pour la dernière fenêtre de candidatures à des extensions génériques. Depuis lors, un processus de développement de politique a été conduit depuis 2015 pour définir un train de recommandations pour la tenue de nouvelles fenêtres de candidatures. Le rapport final de ce processus a été remis au Conseil d’administration de l’ICANN en février 2021. A l’automne 2021, l’ICANN avait surpris la communauté en annonçant la tenue d’une phase de cadrage, un ODP (Operational Design Phase) qui aura finalement duré jusqu’au début de cette année. Le conseil d’administration n’avait donc pas encore statué sur le rapport final des recommandations, un préalable pour pouvoir engager les travaux d’implémentation des recommandations. Autant dire que la nouvelle présidente par interim de l’ICANN était donc aussi très attendue sur ce sujet.

Et elle a rapidement prévenu que le temps était aussi à l’action sur ce sujet : « Vous allez voir que les choses vont être clarifiées » (ndlr : sur les prochaines séries) a-t-elle déclaré lors d’une session en semaine. A la fin de la semaine, lors d’une session du conseil d’administration, 98 recommandations du processus de développement de politiques ont été adoptées, 38 autres mises en balance car nécessitant des compléments d’information. Un plan de mise en œuvre est aussi attendu, ordonné pour août, avec un accent mis sur les noms et extensions internationalisées que l’organisation ICANN souhaite largement mettre en avant et le besoin de clarifier si des extensions génériques fermées vont pouvoir être proposées.

Observations de NAMESHIELD

On peut regretter un retour à une certaine opacité dans les prises de décisions lors de l’ICANN76 où se sont tenues pas moins de 25 sessions fermées. Néanmoins, c’est peut-être de là que viennent aussi les avancées constatées sur des sujets qui avançaient difficilement comme sur les abus du DNS, sujet très important pour NAMESHIELD qui met à votre disposition plusieurs solutions pour défendre vos actifs en ligne et la tenue d’une prochaine série de nouvelles extensions, où les experts NAMESHIELD peuvent également vous accompagner.

L’autre question demeurait de voir comment la nouvelle Présidente d’ICANN par interim Sally Costerton allait endosser son nouveau rôle dans une période à risques pour l’ICANN dont le modèle est lui aussi de plus en plus challengé par les Etats, des organisations internationales et même des alternatives technologiques. Sur ce point, la nouvelle présidente est apparue volontariste, joignant les paroles aux actes, comme sur le sujet de séries ultérieures de nouvelles extensions génériques. Sally Costerton semble avoir déjà commencé à tracer son sillon pour mieux endosser un rôle de PDG pour un mandat plein de l’organisation.

Source de l’image : Site de l’ICANN

Le retour du Registrar Day Afnic

Le retour du Registrar Day Afnic

Le 10 janvier s’est tenue la nouvelle édition du Registrar Day organisé par l’Afnic, un événement surtout destiné aux bureaux d’enregistrement.

Si l’événement avait généralement lieu en décembre, cette nouvelle édition à la fois accessible en présentiel et distanciel et qui intervient après la période de pandémie a eu lieu en début d’année, une façon de se placer « dans une nouvelle dynamique » selon Pierre Bonis, le Directeur Général de l’AFNIC.

Le Registrar Day a permis de revenir sur des faits marquants de l’année 2022 pour l’organisation, ses plus notables étant le déploiement d’un nouveau système de registre le 1er octobre dernier et le renouvellement par l’Etat français de la concession de gestion du .FR pour une nouvelle période de 5 ans. Ce renouvellement s’accompagne de la mise en œuvre de nouveaux engagements comme l’accès aux données d’enregistrement pour des autorités habilitées ou un renforcement des luttes contre les abus.

Côté chiffres, on notera que le .FR a franchi en 2022 la barre des 4 millions de noms de domaine, une croissance plus rapide que le taux médian de 2,0 % recensé par le Council of European National Top-Level Domain Registries (CENTR) pour l’année 2022 au niveau des ccTLDs européens. On peut noter que le .FR se hisse en troisième position en volumétrie au niveau des ccTLDs de l’Union Européenne, derrière le .DE (Allemagne) avec quelques 17 millions de noms et le .NL (Pays Bas) avec plus de 6 millions de noms et se hisse à la 7ième position ex-aequo avec le .AU (Australie) au niveau mondial parmi les 308 ccTLDs délégués à la racine 1.  

1 Source Verisign

Source de l’image : site de l’Afnic

Le .FR compte aujourd’hui 4 millions de noms de domaine

Noms de domaine en .FR

Gérée par l’AFNIC (Association Française pour le Nommage Internet en Coopération), l’extension préférée des français a atteint les 4 millions de noms de domaine enregistrés !

Chaque semaine, entre 12 000 et 16 000 nouveaux noms de domaine en .FR sont enregistrés. Le .FR s’est imposé comme une extension de référence, avec une part de marché en France de près de 40%, en progression depuis plusieurs années notamment grâce à la transformation numérique des TPE/PME françaises. Ainsi plus de 50% d’entre elles ont opté pour une adresse en .FR pour leur site internet.

Facile à enregistrer et peu onéreuse, cette extension est synonyme de confiance et reconnue pour sa fiabilité, avec 87% des Français qui lui font confiance !

Pour plus d’informations et enregistrer votre nom de domaine en .FR, n’hésitez pas à prendre contact avec un consultant Nameshield.

Source de l’image : site de l’AFNIC

Date d’ouverture des extensions turques avancée au 14 septembre 2022

Date d'ouverture des extensions turques avancée au 14 septembre

Nous vous annoncions dans un article du 16 août, l’activation de TRABIS au 29 septembre. Cette date d’ouverture a été mise à jour au 14 septembre.

Le système d’attribution sans papier sur les extensions suivantes : .COM.TR, .NET.TR, .ORG.TR est donc activé !

N’hésitez pas, en prévision, à protéger vos noms de domaine avant cette future ouverture en revenant vers vos consultant(e)s et chargé(e)s de clientèle.

Source de l’image : smuldur via Pixabay

Vous avez encore jusqu’au 20 Septembre pour enregistrer votre nom de domaine .AU à l’identique de votre .COM.AU !

Enregistrements de noms de domaine en .AU

La phase prioritaire permettant aux titulaires des .com.au d’enregistrer l’équivalent en .au se termine le 20 Septembre 2022. Il est encore temps de faire un point sur votre portefeuille et protéger vos noms !

Il faudra attendre le 3 octobre pour l’ouverture générale des .AU.

Attention, à noter qu’il sera toujours nécessaire d’avoir une présence locale ou être titulaire de la marque à l’identique du nom de domaine demandé…. Pour les personnes éligibles, les noms de domaine sont par principe réservables selon la règle du « 1er arrivé, 1er servi ».

Si le lancement du .AU représente une opportunité pour les entreprises ayant la volonté de gagner en visibilité sur le Web australien, il constitue également un risque pour les titulaires de marques, en cas de réservation de noms de domaine reproduisant leurs marques émanant d’un tiers (qu’il s’agisse d’un cybersquatteur ayant l’opportunité d’enregistrer par le biais d’une présence locale ou d’un détenteur de droits homonymes).

N’hésitez pas à refaire un point sur vos noms de domaine déjà enregistrés en .COM.AU, .NET.AU, .ORG.AU et revenir vers vos consultant(e)s et chargé(e)s de clientèle pour sécuriser le plus rapidement possible vos noms de domaine en .AU.

Source de l’image : kitkatty007 via Pixabay

Libéralisation prochaine des extensions turques

Libéralisation prochaine des extensions turques

Nous vous annoncions dernièrement que l’administration des extensions en Turquie changeait et était confiée à TRABIS et que la libéralisation des .com.tr, .net.tr et .org.tr était imminente.

La date de mise en service du système appelé TRABIS (.tr Network Information System), qui couvre la gestion et l’exploitation du système et de la base de données des noms de domaine en Turquie, a été annoncée lors de la réunion organisée par BTK le 22/07/2022.

C’est confirmé, TRABIS sera donc mis en service le 29 septembre 2022.

Nous pouvons donc nous attendre à voir la date de libéralisation des extensions turques : .com.tr, .org.tr et .net.tr se préciser dans les jours qui suivront.

Actuellement, il est toujours nécessaire de transmettre des documents pour enregistrer vos noms de domaine en Turquie, et ce jusqu’au 29 Septembre 2022.

N’hésitez pas, en prévision, à protéger vos noms de domaine avant cette future ouverture en revenant vers vos consultant(e)s et chargé(e)s de clientèle.

Source de l’image : adrimarie via Pixabay

[New gTLD] Sortie du .KIDS

[New gTLD] Sortie du .KIDS

Gérée par DotKids Foundation, une organisation à but non lucratif, la nouvelle extension .KIDS sera lancée dès le 11 août prochain en phase Sunrise.

Destiné aux enfants, aux parents, aux éducateurs, aux communautés et groupes de protection de l’enfance, le .KIDS est une extension dédiée à tous les sujets liés à l’enfance.

La mission de DotKids est de :

  • créer un espace Internet dédié aux enfants, en soutenant et en défendant un meilleur cyberespace favorable au développement positif des enfants ;
  • servir de source de soutien aux initiatives en faveur des droits et du bien-être des enfants, notamment en relation avec Internet.

Calendrier de lancement du .KIDS

Le lancement du .KIDS se fera suivant le calendrier ci-dessous :

  • Phase Sunrise TMCH : du 11/08/2022 au 14/09/2022

Réservée aux titulaires des marques inscrites dans la TMCH.

  • Phase Community Sunrise : du 20/09/2022 au 19/10/2022

Réservée aux organisations, institutions ou organismes caritatifs à but non lucratif dont la mission principale est de défendre les droits des enfants, leur bien-être, l’éducation ou la protection de l’enfance.

  • Phase Pioneer Domains : du 19/10/2022 au 29/11/2022

Réservée aux participants du .KIDS Pioneer Program qui vise à encourager une utilisation active et positive, ainsi que le développement d’un contenu pertinent pour les noms de domaine en .KIDS. Le programme est conçu pour identifier les candidats qualifiés ayant le meilleur potentiel et les meilleures capacités pour maximiser le développement d’un nom de domaine dans le meilleur intérêt des enfants. 

  • Ouverture générale : à partir du 29/11/2022

Politique de protection

Le registre a mis en place des principes directeurs de protection qui exigent des titulaires de noms de domaine en .KIDS de ne pas publier de contenus illégaux et inappropriés, de veiller à la protection de la vie privée et à la confidentialité des données personnelles des enfants qui visitent leur site web.

Pour toute question sur l’enregistrement de votre .KIDS, n’hésitez pas à contacter votre consultant Nameshield.

Source de l’image : https://www.nic.kids/

Le registre du .SEXY augmente drastiquement ses tarifs

Le registre du .SEXY augmente drastiquement ses tarifs

Le registre propriétaire du .SEXY va drastiquement augmenter le tarif des nouveaux enregistrements sous cette extension à partir du 30 avril 2022, 18:00 (Europe/Paris).

Tous enregistrements, transferts et renouvellements d’un nom de domaine en .SEXY déposé après le 30 avril 2022 seront facturés 3850 € HT par an.

Cette très importante augmentation tarifaire, qui n’a pas été explicitée par le registre, s’appliquera uniquement aux noms de domaine enregistrés après cette échéance.

Les noms de domaine enregistrés avant le 30 avril pourront eux toujours être renouvelés au tarif actuel (70 fois moins élevé).

Pour protéger vos marques sans subir cette hausse, nous vous invitons à enregistrer vos noms de domaine en .SEXY dès à présent.

L’équipe Nameshield se tient, comme toujours, à votre disposition pour toute question.

Source de l’image : Site d‘Uni Naming & Registry (UNR)

Ouverture des enregistrements en .TZ

Ouverture des enregistrements en .TZ

Depuis le 1er Mars 2022, le registre tanzanien autorise l’enregistrement des .TZ.

Une première phase de 3 mois (jusqu’au 31/05/2022) permettra l’enregistrement aux titulaires des .CO.TZ enregistrés avant le 01/03/2022.

A compter du 01/06/2022, il sera possible d’enregistrer des .TZ équivalents aux noms récemment enregistrés en .CO.TZ (.co.tz enregistrés après le 01/03/2022).

Une ouverture générale est prévue le 1er Juillet 2022.

L’équipe Nameshield se tient à votre disposition pour toute question.

Source de l’image : carboblock via Pixabay

Lancement des enregistrements en .AU le 24/03/2022 – Rappel

Ouverture des enregistrements de noms de domaine en .AU

La date de l’ouverture des enregistrements de noms de domaine en .AU est annoncée au 24/03/2022.

Pour rappel, pendant les six premiers mois, le processus d’allocation prioritaire mis en place vous offrira l’opportunité de :

  • demander la correspondance exacte de vos noms de domaine déjà existants (.com.au / .net.au / .org.au etc) en .AU ;
  • d’enregistrer de « nouveaux » noms directement en .AU (noms qui n’existeraient pas dans d’autres extensions telles que .com.au, .net.au, .org.au etc.).

A noter : vos noms de domaine existants continueront à fonctionner normalement et conformément à la politique du registre auDA, indépendamment d’un enregistrement en .AU.

L’équipe Nameshield se tient à votre disposition pour toute question.

Source de l’image : kitkatty007 via Pixabay