La conséquence du Brexit sur la gestion des extensions de l’AFNIC (.FR, …)

Le départ du Royaume-Uni de l’Union Européenne à compter du 1er janvier 2021 a bien sûr un impact sur les règles d’enregistrement (le .FR étant ouvert à l’enregistrement depuis décembre 2011 à toute personne physique ou morale résidant sur le territoire de l’Union Européenne).

Aussi depuis le 1er janvier dernier, les résidents du Royaume-Uni ne sont plus éligibles au .fr ainsi qu’à l’ensemble des extensions gérées par l’Afnic.

Comme l’indique l’AFNIC : « Pour bien comprendre les raisons de ce changement, il convient de rappeler les règles d’éligibilité énoncées par la Charte, directement reprises des dispositions du Code des Postes et des Communications Électroniques, à savoir :

Peuvent demander l’enregistrement ou le renouvellement d’un nom de domaine, dans chacun des domaines de premier niveau, toutes personnes physiques résidant et toutes personnes morales ayant leur siège ou établissement principal :

  • sur le territoire de l’un des états membres de l’union européenne ;
  • sur le territoire des pays suivants : Islande, Liechtenstein, Norvège, Suisse.

Le Royaume-Uni n’étant plus membre de l’Union Européenne, ses résidents ne sont plus éligibles.« 

La conséquence du brexit sur la gestion des extensions de l'AFNIC (.FR, ...)
Source image : 8385 Pixabay

A noter : le principe de la non rétroactivité des règles de nommage

Les titulaires d’un nom de domaine enregistré avant le 1er janvier 2021 résidant au Royaume-Uni pourront renouveler autant de fois qu’ils le souhaitent l’enregistrement de leurs noms de domaine, les règles d’éligibilité en vigueur au moment de l’enregistrement de leurs noms de domaine ayant été respectées.

Dans le cas d’un transfert de propriété, le lieu de résidence du nouveau titulaire sera examinée :

  *  S’il réside sur le territoire de l’un des 27 états membres de l’Union ou sur celui de l’Islande, du Liechtenstein, de la Norvège ou de la Suisse, une transmission « volontaire » peut être réalisée à n’importe quel moment auprès des bureaux d’enregistrement concernés.
 *   S’il réside sur le territoire du Royaume-Uni, le transfert ne pourra être opéré.

En résumé :

Un titulaire résidant au Royaume-Uni et ayant enregistré son nom de domaine avant le 1er janvier 2021 peut :

  • conserver son nom de domaine après cette date ;
  • le renouveler ;
  • le transmettre à un nouveau titulaire éligible ; et
  • bénéficier de la procédure de transmission forcée dans les cas particuliers prévus par la Charte de nommage.

Pour plus d’informations, votre consultant se tient à votre disposition.

Changements des règles d’enregistrement pour les .COM.AU, .NET.AU et .ORG.AU

Changements des règles d'enregistrement des .COM.AU, .NET.AU et .ORG.AU
Source de l’image : kitkatty007 via Pixabay

Le registre australien vient d’annoncer un changement des règles d’enregistrement des .COM.AU, .NET.AU et .ORG.AU (à noter que ce changement s’applique aux noms actuellement enregistrés et ce en prévision de l’ouverture du .AU courant 2021).

Les nouvelles règles d’enregistrement des .COM.AU, .NET.AU et .ORG.AU entreront en vigueur le 12 avril 2021. Tous les noms de domaine enregistrés ou renouvelés à cette date ou après cette date seront soumis à celles-ci.

Si votre nom de domaine expire après le 12 avril 2021, les règles en vigueur au moment de votre enregistrement ou du dernier renouvellement de votre nom de domaine s’appliqueront jusqu’à la fin de la période de l’enregistrement actuel. Si le nom est renouvelé, les nouvelles règles seront donc appliquées.

En quoi consistent les changements ?

Jusqu’à présent, pour enregistrer un nom en .COM.AU, .NET.AU et .ORG.AU, vous pouviez utiliser une marque australienne pour répondre à l’exigence de présence locale et pouviez choisir un nom « étroitement et substantiellement lié » à votre marque commerciale.

Avec l’entrée en vigueur des nouvelles règles, si vous utilisez une marque australienne pour répondre à l’exigence de présence locale, le nom de domaine concerné devra correspondre exactement à la marque.

Si cela implique de changer l’entité juridique auprès de laquelle le nom est enregistré, le nom devra être alors transféré à cette nouvelle entité.

Voici l’exemple donné par le registre :

Si votre marque est « A Pretty Horse Carousels »

Vous pourriez détenir les noms suivants :

• aprettyhorsecarousels.com.au
• prettyhorsecarousels.net.au

Mais vous ne pourriez pas détenir les noms suivants :

• phc.com.au
• Carousels.net.au
• Aprettyhorse.com.au
• horsecarousels.com.au

La mise à jour de vos .COM.AU, .NET.AU et .ORG.AU, vous permettra d’être éligible à l’ouverture prochaine du .AU, prévue second semestre 2021.

Nous vous avons annoncé en 2019 l’ouverture imminente du .AU. Nous vous précisions déjà que ce sujet était en cours depuis 2015. Cette ouverture arrive enfin et est une opportunité pour vous de faire un point global de vos noms australiens.

N’hésitez pas à prendre conseil auprès de votre chargé(e) de clientèle qui vous confirmera les éléments nécessaires pour la mise à jour de votre (vos) nom (s) de domaine.

Prolongation de la période sunrise pour le .FORUM

Sortie du .FORUM - new gTLDs
Source de l’image : ary74 via Pixabay)

Le registre du .FORUM a annoncé étendre la période sunrise jusqu’au 25 février 2021.

Pour rappel le .FORUM est une nouvelle extension intéressante tant à exploiter qu’à sécuriser. Ce nouveau gTLD peut aider les internautes à trouver plus rapidement vos pages de forum en optimisant le référencement.

Sortie du new gTLD .CONTACT

New gTLD - .CONTACT
Source de l’image : Tumisu via Pixabay

Lancée par le registre Donuts, cette extension .CONTACT est intéressante, notamment pour les pages de contact de vos sites web.

Cette extension fait également partie du programme TrueName créé par le registre Donuts : lors de l’enregistrement d’un nom en .CONTACT, Donuts protègera aussi les alternatives typographiques de votre marque en les bloquant, empêchant ainsi certaines tentatives de phishing via l’enregistrement par un tiers d’un nom typographiquement similaire (ex. : loulou.contact vs l0ulou.contact).

Rappel du calendrier :

  • Sunrise [période réservée aux titulaires de marques] : 29 septembre 2020 – 28 novembre 2020
  • Early access phase [ouverte à tous, les prix sont décroissants jour après jour] :

– Early Access Phase (EAP) jour 1 : 2/3 décembre

– Early Access Phase (EAP) jour 2 : 3/4 décembre

– Early Access Phase (EAP) jour 3 : 4/5 décembre

– Early Access Phase (EAP) jour 4 : 5/6 décembre

– Early Access Phase (EAP) jour 5-7 : 6/9 décembre

  • Ouverture totale : à partir du 9 décembre 2020

Pour toute question, votre consultant Nameshield se tient à votre disposition.

Nouvelles dates de lancement du .GAY

Extension .GAY - dotGAY - Blog Nameshield
Source de l’image : Site de Top Level Design

Dans notre article du 24 janvier 2020, nous vous avions annoncé le lancement du .GAY par le registre TOP LEVEL DESIGN. Cette extension est destinée aux individus, organisations, entreprises soutenant la communauté LGBTQ. Elle permettra d’accroître leur visibilité et de créer un espace digital plus sûr.

A l’origine prévue pour le 20 mai dernier, la date de l’ouverture totale a été décalée au 16 septembre 2020.

Actuellement en Phase Sunrise II, voici les nouvelles dates de lancement :

  • Phase Sunrise II (période réservée aux titulaires de marques inscrites ou non à la TMCH, la Sunrise I était seulement réservée aux titulaires de marques qui sont inscrites à la TMCH) : jusqu’au 04/09/2020
  • EAP (Early Access Period): du 08/09/2020 au 15/09/2020
  • Ouverture totale : à partir du 16/09/2020

Retrouvez plus d’informations sur cette nouvelle extension .GAY, dans notre précédent article du 24 janvier. Pour toute question, n’hésitez pas à prendre contact avec un consultant Nameshield.

Le lancement du .GAY est proche !

Extension .GAY - dotGAY - Blog Nameshield
Source de l’image : Site de Top Level Design

En juin 1970, un an après l’émeute de Stonewall, qui a marqué la naissance des mouvements de revendication LGBTQ, les premières Gay Pride se sont tenues dans plusieurs villes des Etats Unis, pour revendiquer la liberté, l’égalité et dénoncer les préjudices, les persécutions, l’intolérance et la haine.

50 ans plus tard, avec le lancement de la nouvelle extension .GAY par le registre TOP LEVEL DESIGN, un nouvel environnement digital est créé pour la communauté LGBTQ. Cette extension est ainsi destinée aux individus, organisations, entreprises soutenant la communauté. Elle permettra d’accroître leur visibilité et de créer un espace digital plus sûr.

Le lancement du .GAY se fera suivant le calendrier ci-dessous.

Calendrier de lancement du .GAY

  • Phase Sunrise : du 10/02/2020 au 06/05/2020
  • EAP (Early Access Period): du 11/05/2020 au 18/05/2020
  • Ouverture totale : à partir du 20/05/2020

Des dons reversés à des organisations à but non lucratif LGBTQ

A noter que pour chaque nouveau nom enregistré, le .GAY reversera 20% de son revenu à des organisations à but non lucratif LGBTQ, telles que les organisations GLAAD et CenterLink qui en sont actuellement les premières bénéficiaires.

L’enregistrement d’un nom de domaine en .GAY deviendra ainsi un moyen d’exprimer son soutien à la communauté LGBTQ.

Politique de Protection des Droits du .GAY

Le .GAY donnera la possibilité de créer un environnement en ligne plus sûr pour la communauté LGBTQ. En effet, l’extension sera soumise à une politique de protection des droits du .GAY qui permettra de signaler tout contenu portant atteinte à la communauté LGBTQ, et de mettre en place des actions pour supprimer ces contenus ou suspendre le site lui-même.

« L’utilisation du .GAY pour des contenus anti-LGBTQ ou ayant pour objectif de diffamer ou nuire aux individus ou groupes LGBTQ est strictement interdite et peut résulter en la suspension immédiate du nom de domaine. Les comportements interdits incluent les harcèlements, menaces et discours haineux », souligne le registre.

L’enregistrement de nom de domaine en .gay sera interdit aux groupes déjà connus aux contenus haineux et incitant à la violence contre la communauté LGBTQ.

Pour plus d’informations sur les conditions d’enregistrement de votre .GAY, n’hésitez pas à prendre contact avec un consultant Nameshield.

[New gTLD] Lancement du .NEW par Google

Lancement du .NEW par Google
Source de l’image : 377053 via Pixabay

Après le lancement du .APP, .PAGE et .DEV entre autres, Google (Charleston Road Registry), lance la nouvelle extension .NEW dès le 15 octobre 2019 en phase Sunrise.

Prérequis à respecter pour l’enregistrement d’un .NEW

  • Tous les noms de domaine en .NEW ont pour obligation d’aboutir à une page dédiée à la création de contenu en ligne ou à la génération d’actions. L’internaute devra en effet pouvoir « créer » quelque chose depuis la page affichée sans navigation supplémentaire. Par exemple, docs.new propose une page dédiée proposant l’utilisation directe du logiciel de traitement de texte en ligne de Google, permettant ainsi la création d’une nouvelle page document.
  • Les domaines en .NEW devront être mis en ligne dans un délai de 100 jours suivant l’enregistrement.

Si ces prérequis ne sont pas respectés, le registre considérera que l’enregistrement n’est pas conforme. Dans ce cas, le nom sera mis en attente, le titulaire sera alors notifié pour corriger et appliquer ces conditions, à défaut, le nom sera bloqué puis supprimé.

Calendrier de lancement du .NEW

  • Phase Sunrise : du 15/10/2019 au 14/01/2020
  • LRP (Limited Registration Period) : du 14/01/2020  au 14/07/2020
  • Ouverture totale : à partir du 21/07/2020

Pour plus d’informations sur les conditions d’enregistrement de votre .NEW, n’hésitez pas à nous contacter.

Comment je suis devenu un professionnel de l’air en 15 minutes

Ma grande passion, c’est l’aéronautique. Petit, je me voyais déjà pilote de ligne lorsque je lançais ces petites feuilles A4, pliées dans la meilleure configuration qu’il soit[1] pour voler en travers de la classe d’école. Malheureusement, une vue défaillante aura raison de mon ambition et je dus ainsi abandonner tout espoir de me présenter un jour comme pilote.

Plus tard, le visionnage d’Attrape-moi si tu peux, montrant[2] Léonardo DiCaprio interpréter un fraudeur se prenant pour un pilote de la Panam me rappellera mes souvenirs d’enfant.

Aujourd’hui, travaillant dans les noms de domaine, je ne peux bénéficier d’un GENTY.AERO, qui m’aurait permis d’afficher un statut de pilote aux grands de ce monde. Cependant, la DGAC vint à mon secours rapidement.

C’est en effet en lisant un article du Monde[3] présentant la nouvelle formation des pilotes de drone que l’espoir qui m’avait tant habité revint.

nom de domaine .AERO
Un titre bien français

La Direction Générale de l’Aviation Civile a récemment mis en place une plateforme permettant de passer la formation pour devenir télépilote d’aéronef civil circulant sans personne à bord utilisés à des fins de loisir et je me ruais ainsi sur le site de cette dernière[4].

La vidéo de formation de la plateforme de la DGAC
La vidéo de formation de la plateforme de la DGAC

Quinze minutes de visionnage de vidéo sans l’obligation d’être derrière l’écran, un test de 20 questions avec ces dernières toujours dans le même ordre : il ne m’en fallait pas plus pour devenir pilote de drone d’une masse inférieure à 2 kilogrammes.

L’objet de toutes les convoitises
L’objet de toutes les convoitises

Le test obtenu, Ô surprise, je pus nonchalamment présenter de manière ostentatoire mon nouveau diplôme dans un écrin de toute beauté.

Une fois ma vocation de pilote assouvie, il ne me restait plus qu’à obtenir mon nom de domaine en .AERO

L’entreprise gérant le .AERO[5], à savoir la SITA, Société internationale de télécommunication aéronautique, demande une preuve de formation de pilote. Gardons à l’esprit qu’il s’agit d’une extension fermée et donc réservée au secteur aéronautique.

Je pus joindre le PDF de mon diplôme et une journée plus tard, l’heureuse réponse vint : je peux désormais bénéficier de mon nom de domaine en .AERO

L’heureuse confirmation
L’heureuse confirmation

Voilà, en quinze minutes de formation/test, je pus obtenir un .AERO et être considéré comme n’importe quel acteur du secteur aéronautique. Si l’anecdote fait sourire sur les conditions du test, il n’en reste pas moins qu’il s’agit ici d’un exemple d’une extension dite fermée mais qui s’avère s’ouvrir rapidement.

Et oui, n’oublions pas que le registre vit des enregistrements de noms de domaine, et non d’une hypothétique confiance sur Internet.

Le .SPORT dans les starting blocks !

Sortie du .SPORT

Si plusieurs extensions spécifiques au monde du sport, telles que les .FOOTBALL, .TENNIS, .SKI, .BASKETBALL, .GOLF, ou encore .RUGBY, avaient déjà fait leur entrée sur le terrain des noms de domaine, voici que la rentrée 2018 annonce l’arrivée de l’extension générique .SPORT !

La communauté sportive au sens large inclut tant les grands clubs sportifs que des millions de petits clubs, associations, supporters, sponsors, fédérations et autres comités.

Le .SPORT peut être utilisé par les entreprises désireuses de communiquer sur les valeurs sportives qu’elles défendent, par les clubs sportifs de toute envergure, afin de promouvoir leur dynamisme.

Le .SPORT permettra de dédier une part de sa présence Internet à la thématique sportive, via une extension clairement identifiable et ciblée, et d’y associer par exemple des campagnes marketing pertinentes …

L’ouverture des enregistrements en .SPORT débute ce mardi 4 septembre selon les phases prioritaires suivantes :

Phases de lancement prioritaires : du 4 septembre au 6 novembre 2018

  • 1 : SUNRISE (TMCH) – Réservée aux titulaires de marques inscrites dans la TMCH
  • 2 : GAISF – Réservée aux disciplines reconnues par le GAISF (Association Générale des Fédérations Sportives Internationales)
  • 3 : AUTRES (Instances et autorités publiques, clubs et autres disciplines non reconnues par le GAISF, marques, sponsors, événements, etc.)

Ouverture générale : le 8 janvier 2019

Pour toute question, l’équipe Nameshield se tient bien sûr à votre disposition.

.BRAND : 4 épisodes, de quoi tenir tout l’été

. brand : 4 épisodes, de quoi tenir tout l’été
Photo : CC BY-SA 3.0 Nick Youngson – source : http://nyphotographic.com/

Acte 4 : la reconstruction

Alors qu’une myriade de nouvelles extensions étaient ouvertes à l’enregistrement, l’heure était au choix des enregistrements .COM, .CM, .OM, .CO ou .CAM ? .FR ou .FRL ?

La décision de déposer ses marques dans toutes les nouvelles extensions a bien sûr un coût élevé et n’est qui plus est pas nécessairement judicieux.

C’est aussi pourquoi certaines marques ont choisi un .BRAND : son propre TLD, sa propre souveraineté, ses propres règles de gestion ! De nombreuses marques ont opté pour cette configuration et l’on peut aujourd’hui voir fleurir du .BNPPARIBAS, .ALSTOM, .SNCF, .LECLERC, .GOOGLE,…

Cette réflexion vis-à-vis des .BRAND a parfois été mal menée : certaines marques ont aujourd’hui abandonné leurs propres TLD, comme McDonald’s. L’ICANN tient d’ailleurs une liste de ces TLD, accompagnée des lettres très formelles des entreprises demandant à supprimer la zone de confiance, historiquement si coûteuse. Cela me rappelle The Fallen Astronaut. On pourra dire que l’abandon de ces TLDs servira aux autres à se construire. Un bon général utilise la force de l’ennemi comme disait Sun Tzu !

Ces abandons montrent que les entreprises concernées n’ont pas vu aujourd’hui les bénéfices qu’elles pouvaient en tirer au regard des coûts associés à la création et à la gestion d’un .BRAND. D’autres, plus audacieuses, en ont découvert l’intérêt et/ou imaginent découvrir des opportunités de service nouvelles leur permettant d’avoir un contrôle accru sinon total sur leurs infrastructures à venir à forts enjeux, de type Internet des Objets, Industrie 4.0,…

Attendons les premiers objets connectés et le déploiement d’une réelle infrastructure autour d’un .BRAND résilient et nous verrons !

Lire l’acte 1 : Le déni (et la colère)

Lire l’acte 2 : L’expression

Lire l’acte 3 : La dépression