Tout comprendre sur le Registry lock

Tous se souviennent de l’attaque dont avait été victime le New York Times en 2013. Un groupe de hackers agissant au nom de la SEA, l’Armée Electronique Syrienne (Syrian Electronic Army) avait eu accès aux codes de leur registrar Melbourne IT et ainsi pu modifier les informations DNS de nytimes.com. Le trafic du site a alors été redirigé vers un serveur contrôlé par les pirates. Cette même attaque n’avait pourtant pas eu d’impact sur Twitter.com, géré par le même registrar mais verrouillé par un... Lire la suite